Le challenge Green TIC campus est passé en phase de demi-finale et 16 équipes ont été sélectionnées pour défendre leur projet sur leur page blog du site. Découvrez ceux de la la catégorie ‘Ancrage territorial du campus’
Le Challenge Green TIC Campus a su séduire les étudiants et compte chaque année plus de participants, issus de disciplines très variées. De Lille à Perpignan, de Brest à Lyon, 180 étudiants issus de 40 établissements d’enseignement supérieur, ont proposé des idées concrètes pour rendre leur campus plus durable en utilisant les TIC. Les projets sont répartis en trois catégories : ancrage territorial du campus, vie étudiante et sensibilisation, et gestion environnementale du campus.
Les 16 projets demi-finalistes, choisis pour leur pertinence et leur originalité reflètent cette multidisciplinarité. Ils ont été élaborés par des étudiants issus de formations universitaires, d’écoles de commerce ou encore d’ écoles d’ingénieurs. Objectif des équipes présélectionnées : convaincre le jury et les internautes pour faire partie des 6 finalistes le 11 avril prochain.Pendant la phase de demi-finale, les équipes peuvent prendre conseil auprès d’un « coach », au sein de Fondaterra, pour approfondir leur projet. Ils devront partager leurs avancées avec les internautes en animant une page blog dédiée à leur projet sur le site www.greentic-campus.com, afin de faire connaître leur projet et de récolter des votes leur permettant peut-être de remporter le prix « Coup de Coeur du Public ».
6 équipes seront invitées à Paris pour défendre leur projet en public et devant un jury de personnalités qualifiées, le 11 avril prochain. Ils auront alors l’occasion de se confronter à un exercice professionnalisant : à la manière des start-up, ils auront sept minutes pour faire la différence.
Ces finalistes seront jugées sur la pertinence, l’originalité, le potentiel économique, la viabilité et les conditions de faisabilité de leur projet, sans oublier bien sûr l’impact de ce dernier sur le développement durable de leur campus.Catégorie ‘Ancrage territorial du campus’
* Bornes d’autostop rémunérées pour le campus, HEC Paris
Le campus d’HEC est éloigné de la ville de Paris et les déplacements en transports en commun peuvent se révéler parfois difficiles. Ainsi, la mise en place de bornes d’autostop électriques à l’entrée et à la sortie du campus HEC serait un moyen de palier aux problèmes de transports en commun et aux difficultés de mise en place d’une plateforme de covoiturage efficace. Chaque borne d’autostop serait la représentante physique d’un trajet prédéfini et permanent et c’est l’utilisateur du système qui fixerait le prix et non pas le conducteur.* Keski s’tram ? Université du Havre
Le projet proposé par les étudiants du Havre permettrait de communiquer et partager l’actualité du campus du Havre via les panneaux d’affichage du tram afin de développer la vie étudiante havraise, favoriser la cohésion sociale et renforcer l’ancrage territorial du campus. Les étudiants et services universitaires seraient alors acteurs de la vie étudiante havraise via une plateforme numérique.* Qui miel me suive ! faculté de pharmacie de Nancy
L’objectif du projet Qui miel me suive ! est d’installer des ruches munies de dispositifs permettant de réaliser des statistiques quant à la vie des abeilles en ville et l’impact sur la production de miel. A cela seraient couplés à la fois un site web proposant avis et conseils pour les particuliers désirant installer des ruches sur leurs propriétés, et une application Smartphone renseignant sur les vertus thérapeutiques et cosmétiques des produits des ruches.* Wiskey, ECE Paris
Wiskey serait la première plateforme ouverte proposant des services innovants aux étudiants. Il suffirait d’approcher leur smartphone NFC d’un lecteur Wiskey pour leur permettre de valider leur présence en cours d’un seul geste, ou encore de payer à la cafétéria de leur école. L’application permettrait aussi d’accéder à un ensemble d’informations (emploi du temps, disponibilités des salles, des professeurs) simplement en approchant le téléphone des puces NFC Wiskey. Cette technologie permettrait donc aux établissements de proposer des services innovants tout en réduisant de nombreux coûts et l’impact environnemental notamment lié à la gestion des absences.* Cantin’car, EI CESI de Nanterre
L’éloignement du campus de l’EI CESI de Nanterre de nombreuses commodités restreint les possibilités, pour les étudiants, de se restaurer le midi. Le projet permettrait donc la création d’un service de restauration rapide ambulant permettant aux étudiants de manger sainement (bio et local). Pour une meilleure organisation, une application smartphone permettrait de commander son repas la veille ou le jour même jusqu’à 11h. De plus, ce service pourrait s’étendre à toutes les entreprises situées dans ce périmètre pour un business model viable.
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