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Toulouse: chute mortelle du 3e étage d’un jeune de 18 ans après un crachat

Toulouse: chute mortelle du 3e étage d'un jeune de 18 ans après un crachat

Lundi soir à Toulouse, une soirée entre amis a viré au drame. Un jeune homme de 18 ans a fait une chute du 3e étage après avoir un crachat par la fenêtre.

La fête a viré au drame. Dans la nuit de lundi, à Toulouse, une soirée entre amis s’est terminée de la pire des façons. En plein centre-ville, un jeune homme de 18 ans a chuté mortellement du troisième étage d’un immeuble. Les secouristes n’ont pas pu le sauver. Il serait tombé après avoir voulu cracher par la fenêtre, probablement en voulant prendre son élan durant un présumé « concours de crachats ».

Chute mortelle du troisième étage

Les faits se sont produits aux alentours de 2 heures 30 du matin, dans un immeuble au 10 rue de Metz, au cœur de la ville rose . Lors d’une fête entre amis, un jeune homme de 18 ans a basculé par la fenêtre alors qu’il était très alcoolisée. Situé au troisième étage, il a atterrit plusieurs mètres plus bas. Les services de secours ont été alertés immédiatement. Mais sur les lieux du drame, malgré les premiers soins prodigués par les pompiers et le samu, ces derniers n’ont pu sauver la victime, très grièvement meurtrie.

La victime aurait voulu cracher par la fenêtre

Si la piste criminelle a rapidement été écartée, les raisons de la chute de l’adolescent restent floues. D’après les premiers éléments, ce serait en crachant par la fenêtre de l’appartement que la victime aurait chuté. Est évoquée la thèse d’un concours de crachats entre amis. En prenant son élan pour participer à ce pari et ainsi cracher le plus loin possible, il n’aurait pas bien calculé sa course et aurait basculé par la fenêtre. Sa consommation d’alcool ce soir-là ne serait pas étrangère à ce mauvais calcul. Ses amis ont été extrêmement choqués. Certains d’entre eux ont dû être hospitalisés.

Une autopsie devrait être pratiqué sur le défunt, et devrait apporté plus de précisions sur les circonstances dramatiques de l’accident. Ce sont les policiers du quart judiciaires qui sont en charges de l’enquête.

 

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