En Suisse, un jeune couple qui passait sa première nuit ensemble a mis le feu au matelas durant leurs ébats. Ils ont du jeter le lit par la fenêtre.
C’est chaud ! Un tout jeune couple suisse, qui passait sa première nuit ensemble, a littéralement fait monter la température ! Le 29 août dernier, durant leurs ébats, le matelas sur lequel ils faisaient l’amour a pris feu au contact d’une bougie. L’homme n’a eu d’autres choix que de balancer le lit par la fenêtre, qui s’est retrouvé sur la voie publique. Et la suite du récit est encore plus épique…
Le matelas brûle pendant qu’ils font l’amour
Les deux amants se souviendront longtemps de leur première fois ensemble. Le 29 août dernier, un couple suisse passait la nuit ensemble quand un imprévu les a stoppé net dans leur rapport. En effet, leur fougue était telle que le lit s’est déplacé et est entré en contact avec une bougie. « Nous faisions l’amour lorsque j’ai vu que ça cramait. Les flammes étaient hautes et se propageaient très vite » a expliqué l’homme de 30 ans au site 20minutes.ch. Pris de panique, l’homme a immédiatement réagi en lançant le matelas en feu par la fenêtre, après s’être assuré que personne ne se trouvait en dessous. « J’avais peur que l’appartement et l’immeuble partent en fumée », assure-t-il.
Plaqué au mur par la police
Et comme si ça ne suffisait pas, l’homme décide d’appeler la police, qui le redirige vers les pompiers: « Ils (les policiers, ndlr) m’ont mis en contact avec la centrale des pompiers. Après quelques minutes de discussion, la personne au bout du fil m’a dit qu’ils n’allaient pas intervenir . » La police finira pourtant par arriver dans l’appartement du couple quelques minutes plus tard, à cause du matelas brûlé sur la chaussée.
Mais ceux-ci ne vont pas faire dans la dentelle: « J’ai été plaqué contre le mur. On se serait cru en pleine intervention des forces spéciales » a déclaré l’homme, surpris. « Les policiers s’attendaient à voir quelqu’un à côté du matelas carbonisé, mais il n’y avait personne. Dans ce genre de cas, on ne sait pas à qui on aura affaire » a justifié le porte-parole de la police. Les tourteaux ont été entendus au poste de police puis ont été relâchés.