Le procès d'un Danois de 58 ans s'est ouvert hier après la découverte de 21 organes génitaux de femmes dans son freezer.
Glauque. Un Danois âgé de 58 ans et propriétaire d’une armurerie a été arrêté la semaine dernière à Bloemfontein, dans le centre de l’Afrique du Sud. Son identité exacte ne peut pas être divulguée à cause des lois sud-africaines l’interdisant. Il est accusé d’agressions sexuelles après la découverte macabre de 21 organes génitaux féminins retrouvés dans son freezer, a annoncé la police. Il est accusé d’avoir anesthésié puis mutilé ses victimes. Son procès s’est ouvert lundi.
Il droguait ses victimes avec des anesthésiants et les mutilait
C’est une terrible découverte sur laquelle la police sud-africaine est tombée, à Bloemfontein. Pas moins de 21 organes génitaux de femmes ont été retrouvés dans le freezer de ce Danois, âgé de 58 ans. Des anesthésiants et du matériel chirurgical ont également été retrouvés au domicile de ce propriétaire d’une armurerie. Il est accusé d’avoir« drogué ses victimes avant de réaliser des opérations (chirurgicales) illégales sur elles », a indiqué la police dans un communiqué, sans préciser la nature exacte des mutilations ni l’état dans lequel les victimes ont été retrouvées.
L’homme était également recherché par la police danoise
Si très peu d’informations nous sont pour le moment parvenues, la police pense que les victimes de l’homme pourraient être originaire du Lesotho, petit royaume totalement enclavé dans l’Afrique du Sud et situé à une centaine de kilomètres seulement de Bloemfontein. Certaines médias affirment qu’il aurait, par le passé, déjà infligé ce genre de sévices. En effet, il aurait avoué à un journaliste qu’il s’était déjà livré à des mutilations génitales sur des femmes.
Après la divulgation de cette information sordide, la police danoise s’est manifestée. Apparemment, l’homme était également recherché par les autorités du Danemark pour commerce illégale d’armes à feu. Sa prochaine audience aura lieu le 28 septembre, au cours de laquelle il devrait demander une libération sous caution.