La police n'est jamais à l'abris d'un malade. Un homme s'est littéralement fait caca dessus et a ensuite jeté ses excréments sur les forces de l'ordre.
Si la vie d’un policier n’est pas facile, cette histoire confirme bien que leur métier est un des plus incroyables du monde, et pas forcément dans le bon sens. Dans une interview parue dans les colonnes du journal régional La Voix Du Nord, la commissaire Emilie Ngasho expliquait que « les policiers sont en première ligne, ne savent pas ce qu’ils vont découvrir, ils sont confrontés à la violence, l’alcool, aux bassesses, au mépris ». Une déclaration qui se confirme dans son ancien commissariat d’Arras. Mercredi matin, vers 9h45, les forces de l’ordre interviennent dans une rue de la ville, Alphonse Daudet, pour interpeller un habitant de 46 ans soupçonné d’avoir frappé sa mère.
Il se chie dessus et envoie tout sur la Police
Mais ce n’est pas la chose la plus choquante malheureusement. L’homme en état d’ivresse est conduit au commissariat par la police. Une histoire comme il en existe des milliers à travers la France, mais le problème c’est qu’elle ne s’arrête pas là. En effet, le quadragénaire s’est alors mis à insulter avec vigueur les fonctionnaires de police, il a ensuite déféqué dans son pantalon… En gros, il s’est ch** volontairement dessus! Surpris, les hommes de loi vont en avoir pour leur grade quand celui-ci va ensuite se mettre à les asperger avec ses excréments. Il a ensuite recouvert sa cellule de garde à vue avec tout un tas de saleté.
Il sera présenté à un juge pour violence
A cause de son taux d’alcoolémie fortement élevé, l’homme n’avait toujours pas pu être auditionné vers 17h. La garde à vue s’est donc prolongée à 48 heures. A l’issue de celle-ci, il a été libéré, mais s’est retrouvé placé sous contrôle judiciaire avec une convocation au tribunal d’Arras pour une audience fixée au 23 octobre prochain. Il y sera jugé pour violences envers sa mère et la police. Ce n’est pas la première fois que l’homme se retrouve face à un juge. Il avait déjà été présenté dans un tribunal pour des violences survenue en décembre 2014.