Un enfant de 7 ans est entre la vie et la mort après avoir été poignardé par un déséquilibré mental.
Les faits se sont déroulés à l assortie de l’école, dans le village de Joeuf, à seulement quelques kilomètres de la ville de Metz, vers 16h jeudi 15 octobre. Un homme qui résidait dans le même immeuble qu’un enfant de 7 ans s’est acharné sur lui, explique le Républicain Lorrain, le journal local de l’Est de la France. Le journal explique que le garçonnet venait de fêter ses 7 ans lundi dernier. Le jeune enfant a été poignardé à six reprises à l’abdomen par le déséquilibré. L’enfant a tout de suite était pris en charge par le Samu qui l’a envoyé en urgence par hélicoptère, à l’hôpital de Nancy. Son état a été jugé grave par les médecins qui l’ont pris en charge.
L’agresseur a poignardé l’enfant sous les yeux d’un policier
Les coups de couteau ont tous été portés à l’abdomen et, malheureusement, ont tous touché leur cible. Certains coups ont même percé des organes vitaux, entraînant des blessures graves chez l’enfant. C’est un policier qui n’était pas en service et qui habite le quartier qui a été le premier témoin de la scène. Il a tout de suite alerté le beau-père de l’enfant. Les deux hommes se sont ensuite précipités pour intervenir, désarmer et a maitriser l’agresseur qui a pu tout de même prendre la fuite après les faits. Celui-ci s’est d’ailleurs rendu à la police de son plain grès. Pour le moment, aucune information précise n’explique les raisons de l’agression. Mais le profil de l’agresseur, lui, se dévoile.
L’homme serait un malade mentale déjà connu des services de police
Selon le beau-père de l’enfant, l’agresseur est décrit dans le Républicain Lorrain comme « un malade mental qui nous a crié : Vous voulez vous battre ? », alors que le jeune enfant se trouvait déjà au sol. L’homme qui est pourtant connu des voisins, ne rentrait jamais en contact avec eux. Selon les habitants de l’immeuble, il s’agirait d’un homme d’une trentaine d’années qui avait déjà eu à faire à la police pour des agressions violentes selon un délégué syndical d’Alliance police qui a été contacté par BFMTV. Il souffrirait de troubles psychiatriques et aurait tenu de nombreux propos incohérents durant son interrogatoire.