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Le Bon Coin: un site concurrent ouvre pour la bonne cause

Le Bon Coin: un site concurrent ouvre pour la bonne cause

Un site de petite annonce a décidé de vendre en ligne des objets et concurrence Le Bon Coin. Une initiative très appréciée puisque une partie des ventes sont reversées à des associations caritatives

Le site Cestbonesprit.fr, est un site qui vend des objets en ligne. Le site propose aux vendeurs de donner une partie des bénéfices à une association caritative. Le site pourrait s’étendre sur internet dans les prochains mois.

Un vide-grenier solidaire qui concurrence Le Bon Coin

L’idée est venue de Jean-Pierre-Savin un ancien commercial dans une entreprise de transport. L’homme aurait tout simplement voulu se débarrasser de son frigidaire. « Je voulais m’en débarrasser pour le donner à une association. Mais je n’ai pas réussi à en trouver : elles ne se déplacent pas pour un seul objet » explique l’homme à Métro News. C’est à ce moment la que l’homme à décidé de lancer un « vide-greniers solidaire » sur internet. Les vendeurs ont juste à déposer sur internet les objets qu’ils souhaitent vendre. « Le minimum du don est de 30%, mais peut aller jusqu’à 100%. On peut vider son grenier et défiscaliser! »« précise Jean-Piere-Savarin.

Un potentiel très important sur internet

La seule « contrainte » est que le vendeur doit lorsqu’il met l’annonce sur internet, choisir l’association à qui une partie des ventes seront reversées. Cette initiative solidaire permet de redonner une nouvelle vie aux objets. « Nous avons entre 10 et 50 annonces par jours, dans tous les domaines : voitures, mais aussi ameublement, déco… Mais il faudrait des milliers de ventes par semaine. On est encore microscopique par rapport aux gros pure players de la petite annonce comme Le Bon Coin », précise l’initiateur du projet à Metro News. Pour les associations partenaires, cette initiative est bénéfique. « Elles touchent une somme d’argent, et voient aussi l’opportunité d’être présentes sur internet, un support plus visible auprès des jeunes. Le vendeur se débarrasse de ses objets, peut toucher un peu d’argent et fait une bonne action. L’acheteur se rend solidaire d’une bonne action. », explique-t-il au quotidien. Pas moins d’une quarantaine d’associations seraient aujourd’hui partenaires.

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