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Un homme amputé de ses deux jambes en voyage de noces

Un homme amputé de ses deux jambes en voyage de noces

Matthew Parkes a été amputé de ses deux jambes alors qu'il fêtait avec sa femme leurs cinq ans de mariage à Majorque.

Cauchemar en vacances. Pour fêter leur cinq ans de mariage, Matthew et Pamela Parkers avaient décidé de retourner à Majorque, en Espagne, peu après s’être dit oui pour la vie. Mais lors de cette nouvelle lune de miel, rien ne s’est passé comme prévu pour le couple originaire de Manchester.

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Placé dans un coma artificiel

En retournant sur le lieux de leurs voyage de noces avec Sophia, leur petite fille de quatre ans, Mathhew, 38 ans, et Pamela, âgée de 39 ans, espéraient revivre les bons moments qu’ils avaient vécu après s’être passés la bague au doigt cinq ans plus tôt. Mais seulement quelques jours après leur arrivée, Mathhew a été pris de violents maux de gorge et a dû être hospitalisé d’urgence. Très vite, son état de santé se dégrade alors dangereusement. Atteint d’une pneumonie, d’une défaillance d’organes et d’un choc septique, il fini également par perdre un poumon. Il a ensuite été placé dans un coma artificiel.

Maladie de Castleman, il doit être amputé

A l’hôpital, les médecins lui décèlent la maladie de Castleman caractérisée par une tumeur rare qui affectent les ganglions et le système immunitaire. Cela explique pourquoi Mathhew était impuissant face à son infection à la gorge. Il doit alors être amputé des deux pieds et de la main comme l’explique sa femme au Daily Mail« S’il ne subit pas cette opération, il ne lui resterait que quelques jours à vivre. Tous les médecins et infirmières sont venus lui dire au revoir car il a été hospitalisé plus d’un mois. Je vais rester à ses côtés à l’hôpital. Ça va être un long voyage mais nous nous y sommes préparés ». Il a quitté l’hôpital local de Wythenshawe, à Manchester. Sa femme reste toutefois positive:«  Les docteurs ont décelé que ses tumeurs n’étaient pas cancéreuses. Donc, quand ils le réveilleront, nous aurons de l’espoir. Nous savons pour l’amputation, pour la chimiothérapie, mais nous sommes prêts »« .

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