Un homme est activement recherché par la police après avoir été pris en flagrant délit en train de photographier sous les jupes des filles.
En Angleterre, un homme est actuellement recherché par la police pour avoir filmé avec son smartphone à plusieurs reprises sous les jupes des filles. L’homme s’est fait attraper par les autorités grâce aux caméras de vidéosurveillance d’un centre commercial du sud de Londres. Sur la vidéo, on le voit se balader à plusieurs reprises dans les rayons, explique le site internet du Daily Mirror. C’est alors que l’individu s’arrête derrière une femme. Il a repéré sa victime… Faisant semblant de regarder différents articles, il se retourne à toute vitesse, et tente de glisser un téléphone portable sous les jupes de la jeune femme qui ne se rend alors compte de rien. Au total, l’homme a reproduit ce geste au moins deux fois sous l’oeil des vigiles de la galerie marchande.
Le vigile le prend en flagrant délit, mais le laisse partir
Les faits se sont déroulés le 5 novembre dernier dans un centre commercial à Londres. Alerté, les gardes se sont donc précipités vers le suspect. Intercepté par un agent de sécurité, celui-ci lui aurait juste demandé de supprimer les photos qui ont été prises sous les jupes des victimes, mais l’agent n’ira pas plus loin dans la démarche et le laissera partir sans appeler les forces de l’ordre, n’y même relever son identité. Grossière erreur car au Royaume-Uni, ce type de délit ne passe pas auprès des autorités qui ont décidé de lancer une enquête à l’encontre de cet individu.
Regarder sous les jupes vous emmène faire un tour en prison
Maintenant, l’homme est activement recherché par la police anglaise. Elle invite d’ailleurs n’importe quel témoin, ou victime à se présenter au poste de police pour tenter de trouver l’identité du pervers qui regarde sous les jupes des filles. L’homme serait âgé d’une vingtaine d’années, il est décrit comme mince et d’environ 1m80. Au moement des faits, le suspect portait un survêtement bleu et un T-shirt blanc, explique la police de Scotland Yard qui a diffusé les images tirées des caméras de vidéosurveillance et une capture d’écran de son visage. Malgré tout, les faits se sont déroulés il y a près d’un mois, et la presse britannique s’interroge pour comprendre pourquoi cet appel à témoin a été si long à lancer.