Jerry Active, un américain de 26 ans, a été condamné à 359 ans de prison vendredi après avoir été reconnu coupable du viol d'une petite fille de deux ans. et pour avoir tué ses grands-parents, entre autre...
Récidive. Le 21 août dernier aux Etats-Unis, en Alaska, un homme a écopé d’une très lourde peine de 359 ans de prison. Il a été reconnu coupable de plusieurs viols et de meurtres. En mai 2013, il s’en est pris sexuellement à une petite fille âgée de deux ans. Il a également abusé de la grand-mère de cette dernière, avant de la battre à mort, puis a ensuite tué le grand-père. Il avait été libéré de prison quelques heures plus tôt.
Il viole la petite fille et tue les grands parents
Jerry Active. C’est le nom de l’auteur des abominables crimes qui lui valent une peine extraordinaire de 359 ans de prison. Les faits se déroulent au mois de mai de l’année 2013, en Alaska. L’homme se promène les rues de Mountain View quand il décide, au hasard, d’entrer au sein du domicile de deux personnes âgées de 71 et 73 ans. Ceux-ci s’occupent tranquillement de leur petite-fille de deux ans avant que la folie de Jerry Active ne fasse basculer leur vie. L’homme entre dans la maison et s’en prend tout d’abord à la fillette en la violant, un sort qu’il réservera également à la grand-mère avant de la battre à mort. Le grand-père se verra également rouer de coups par le meurtrier. Il succombera à ses blessures.
« C’est la pire chose qu’ils avaient jamais vu de leur vie »
L’écœurante violence des faits avaient secoué les enquêteurs. A l’époque, Anita Shell, porte-parole du département de la police, avait alors déclaré, en évoquant les détectives chevronnés qui étaient en charge de l’affaire: « C’est la pire chose qu’ils avaient jamais vu de leur vie ». Le 23 avril dernier, Jerry Active avait été reconnu coupable de dix chefs d’accusation par le jury, dont deux pour meurtres au premier degré, plusieurs pour agressions sexuelles, notamment sur mineurs.
Il sortait tout juste de prison
Avant de commettre ces nouveaux crimes, l’homme sortait à peine de prison, quelques heures plus tôt. Il avait été condamné en 2009 pour avoir plaidé coupable d’être entré par effraction dans une maison, avant d’agresser sexuellement un enfant et d’autres résidents. Il avait été libéré en 2013, juste avant la nouvelle agression, alors qu’il purgeait une peine de sept ans de prison. Il avait également agressé sexuellement une femme de 90 ans, décédée en juin dernier.
L’homme assure qu’il clamera son innocence « jusqu’à la fin », estimant que le jury, composé exclusivement de personnes blanches, ne l’a pas jugé correctement. Pas sûr que cela suffise pour apitoyer la Cour…