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Sa mère refuse de payer son cannabis, il tue son chat à coups de marteau

Son chat disparaît pendant 7 semaines, elle le retrouve ivre mort dans une cave à vin

A Marseille, un adolescent s'est vu refuser de l'argent par sa mère pour se payer son cannabis. Il a alors tué son chat à coups de marteau

C’est dans la ville de Marseille qu’un acte atroce a été commis par un jeune homme de 19 ans, le 4 août dernier. Ce dernier, addict au cannabis depuis l’âge de 13 ans, a demandé à sa mère de l’argent pour pouvoir payer sa consommation de drogue. Sa mère ayant refusé, le jeune homme s’en est pris à son chat, se servant d’un marteau et l’a battu à mort.

Un drame qui en rappelle de nombreux autres, de maîtres qui violentent leur animal par vengeance …

Sa mère refuse de payer lui son cannabis, il tue son chat à coups de marteau

Le 4 août dernier, ce jeune homme de 18 ans a effectivement commis un acte irréparable. Toxicomane depuis l’âge de 13 ans, avec une consommation de 5 à 6 jours quotidienne, il s’est vu refusé de l’argent de la part de sa mère pour s’acheter son cannabis. Visiblement très énervé, il s’en est alors pris à son chat, en le tuant un coups de marteau.

Un adolescent toxicomane, pyromane, et violent avec sa mère et les animaux

Très vite arrêté, il a été interrogé par la police, a avoué le meurtre du chat de sa mère mais aussi l’étranglement deux autres chats au cours des derniers mois. Le jeune homme aurait d’ailleurs coupé la queue d’un des chats devant sa petite-sœur. Des aveux sur lesquels il est très vite revenus devant le tribunal.

Par ailleurs, ancré dans un contexte familial très difficile, il a à plusieurs reprises commis des violences sur ma mère et a allumé des feux. L’adolescent a d’ailleurs avoué à la police :« A chaque fois que je m’embrouille avec ma mère, je passe à l’acte ».

Il a été écroué à la prison des Baumettes pour avoir tué le chat de sa mère et pour cruauté envers des animaux. Dans l’attente de son procès, une expertise psychiatrique a été ordonnée par son avocate, appuyée par la procureure de la République qui a jugé cette expertiste« plus nécessaire que jamais car nous sentons une problématique de violence familiale et sa responsabilité pénale doit être appréciée à l’aune de son état psychiatrique ».

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