L’Organisation mondiale de la Santé a déclaré lundi 1 février 2016 que le virus Zika était une "urgence de santé publique de portée mondiale"
Alors que le virus Zika se propage massivement et qu’il est déjà bien implanté au Brésil. La directrice de l’Organisation mondiale de la Santé a déclaré hier lors d’une réunion que le virus Zika était une « urgence de santé publique de portée mondiale».
L’OMS déclare le virus Zika comme «une urgence de santé publique de portée mondiale»
Le virus qui a été détecté l’an dernier dans la région des Amériques se propage massivement. L’Organisation mondiale de la Santé a déclaré hier que le virus était « une urgence de santé publique de portée mondiale ». Une solution dramatique qui pourrait aider les nombreux scientifiques dans la lutte contre le virus. « Tous les experts s’accordent sur le besoin urgent de coordonner les efforts internationaux pour poursuivre les investigations et comprendre mieux cette relation. Ils considèrent que l’étendue géographique des espèces de moustiques qui peuvent transmettre le virus, l’absence de vaccin et de tests fiables, ainsi que le manque d’immunité de la population dans les pays nouvellement touchés constituent des causes supplémentaires d’inquiétude », a précisé la directrice de l’OMS lors d’une réunion. Le virus serait transmis par les piqures de moustiques. Le virus Zika aurait déjà touché 1,5 million de personnes au Brésil. La Colombie est le second pays le plus touché après le Brésil.
Un virus déjà bien implanté
En cas de contamination le virus peut causer des malformations congénitales et aussi des syndromes neurologiques.La directrice de l’Organisation mondiale de la Santé, a indiqué que « les experts considèrent que l’étendue géographique des espèces de moustiques qui peuvent transmettre le virus, l’absence de vaccin et de tests fiables, ainsi que le manque d’immunité de la population dans les pays nouvellement touchés, constituent des causes supplémentaires d’inquiétude », précise le Figaro. Le virus Zika déjà bien implanté en Amérique Latine pourrait se propager dans d’autres régions. En France métropolitaine, pas moins de cinq cas ont déjà été détectés.