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Masturbation: elle meurt d’un AVC en plein orgasme

Masturbation: elle meurt d'un AVC en plein orgasme

Un jeune fille est décédé d'un AVC en pleine séance de masturbation à cause d'un orgasme trop important… Un cas qui n'est cependant pas isolé.

Pour certains, mourir en plein milieu d’un orgasme est un rêve… Mais cela reste des paroles en l’air. Car lorsque ça arrive, ce n’est pas forcément très avantageux… C’est ce qui est arrivé à une jeune femme de 24 ans qui a été retrouvée morte dans sa salle de bain… L’affaire a été dévoilée par des médecins légistes allemands dans l’American Journal of Forensic Medicine and Pathology. Selon les éléments de l’enquête, le seul objet retrouvé à côté du corps de la jeune femme était un vibromasseur. Suite à cette découverte, les enquêteurs ont en effet annoncé que la jeune fille était décédée des suites de son orgasme lors d’une séance de masturbation.

La masturbation est dangereuse pour certains

Une hypothèse confirmée par les médecins légistes qui ont détecté une hémorragie méningée qui a été provoquée par une rupture d’anévrisme au cerveau. La masturbation, augmente la pression artérielle au même titre qu’une activité classique. L’anévrisme étant provoqué par la dilatation trop importante d’une artère, cela est en effet un risque qui concerne entre 2 et 3% de la population mondiale. Pouvant provoquer un AVC, ce problème doit être traité en urgence afin de limiter le risque de mort du patient… Mais dans un cas comme celui de la masturbation, difficile d’intervenir à temps.

Un président français en a déjà été victime

Ce n’est pas le premier cas et encore moins le plus médiatique qui ait été enregistré. En effet, un ancien président de la République Française est décédé pour les mêmes raisons lors de son mandat à l’Elysée. Ici, il ne s’agissait pas de masturbation, mais d’une rencontre avec sa maitresse de l’époque. Lors d’une fellation un peu trop poignante, le président avait fait un AVC et était décédé sur le moment même. La presse s’était alors emparée de l’affaire et avait divagué à toutes les formes de mauvaises plaisanteries, en appelant notamment la pauvre femme « la pompe funèbre », ou en écrivant un faux épitaphe pour le président: « il voulu être César, il ne fut que pompé ».

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