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Elle meurt après avoir caché du crack dans son vagin

Elle meurt après avoir caché du crack dans son vagin

Une américaine de 31 ans a trouvé la mort en prison après avoir caché du crack dans son vagin. Avant d'être incarcérée elle aurait avalé une quantité de drogue se trouvant dans on appareil génital

La technique n’est pas nouvelle et elle est toujours aussi dangereuse : cacher la drogue à l’intérieur de son corps. Quelques drogues que ce soit, les différents orifices de l’homme ont toujours été les meilleurs cachettes pour les dealers ou les consommateurs. Pour cette américaine de 31 ans, cette méthode lui aura été fatale : elle est morte après avoir caché du crack dans son vagin.

Elle avait été arrêtée pour possession et consommation de produits illicites avec trois autres personnes dans la ville de Sebring aux Etats-Unis. Au commissariat, les policiers se sont aperçu, en réalisant un scanner, que la jeune femme abritait deux objets suspects dans son vagin. Ils l’ont alors conduite à l’hôpital afin de les faire retirer. Il s’agissait d’une pipe à crack et d’une petite bouteille contenant environ 2 grammes de crack.

Elle profite de l’absence de l’infirmière pour ingérer le crack

La suspecte se trouvait en compagnie d’une infirmière derrière des rideaux gardés par deux policiers. Quand l’infirmière s’est absentée pour aller chercher un récipient, la jeune femme a sauté sur l’occasion pour retirer la bouteille située dans son vagin et avaler les deux grammes de crack. L’infirmière lui a ensuite retiré la bouteille et la pipe à crack du vagin avant qu’elle ne soit conduite en prison. C’est à ce moment-là que les choses se sont gâtées.

Une fois en cellule, la jeune détenue à commencé à se sentir mal. Son état empirant, le personnel pénitencier a été obligé de la conduire d’urgence à l’hôpital. Elle est morte quelques minutes plus tard. Tout porte à croire que c’est la quantité de crack ingérée – et surement mal emballée – qui aurait provoqué une overdose. Des traces de crack avaient été retrouvées sur le sol de la chambre d’hôpital où elle avait fait le transfert de drogue. Une autopsie sera réalisée pour déterminer les causes exactes de sa mort. Les tests préliminaires ont toutefois relevé la trace de nombreuses drogues dans son organisme : cocaïne, métamphétamine, cannabis et amphétamines.

Source : Metronews

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