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Vendée : elles séquestrent une amie et la torturent par jalousie

Vendée : elles séquestrent une amie et la torturent par jalousie

Trois filles on torturé leur amie au cours d'une soirée à Château d'Olonne. Les trois ravisseuses ont soudainement fait une crise de jalousie

C’est une discussion entre copines âgées de 16 à 20 ans qui a totalement dérapé et a fini en scène de torture et de barbarie sur fond de jalousie. Les 4 amies s’étaient données rendez-vous dans la maison l’une d’entre elle pour faire une petite soirée entre fille, profitant de l’absence de ses parents partis pour rendez-vous professionnel. Une fois réunies dans la maison familiale située dans la commune de Château d’Olonne en Vendée, les jeunes filles ont commencé à entamer une discussion à propos des garçons.

Elles commencent montrer de la jalousie vis à vis d’une amie

Elle ont notamment commencé à parler de leur petits copain respectifs, tout en buvant de l’alcool. Tout à coup la discussion a pris une autre tournure quand les trois filles ont commencé à faire preuve de jalousie et d’accuser la quatrième d’accorder beaucoup trop d’importance à leurs petits copains. Elles estimaient également qu’elle les regardait trop souvent. C’est là que la soirée a dérapé et que la fille a subi les pires sévisses pendant une heure de torture.

Après avoir pris soin d’envoyer leurs copain faire des courses, les trois filles ont torturé la jeune fille pendant une heure. Elle l’ont déshabillée, l’ont attachée puis frappée. Elle lui ont également lacéré le corps et le visage avec des bouts de verre et lui ont coupé les cheveux. La scène a été filmé par l’une des copines de la victime. La jeune fille est ensuite parvenue à s’enfuir après que l’un des garçons soit rentré des courses.

Des lacérations de 50 centimètres

Elle a été rapidement hospitalisée car elle présentait des lacérations de 50 cm sur le dos. Ses trois autres amis, des filles déscolarisées, semblaient ne pas se rendre compte de la gravité de leurs actes durant cette nuit de torture. Elles risquent 15 ans de prison.

Source : Ouest-France, Metronews

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