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Ursula Corbero: comment vit-elle le succès fulgurant de La Casa de Papel ? [DOSSIER]

Ursula Corbero: comment vit-elle le succès fulgurant de La Casa de Papel ?

Depuis que La Casa de Papel a connu un succès à l'international, Ursula Corbero aussi a vécu une ascension fulgurante. Comment le vit-elle ?

Le nom d’Ursula Corbero ne vous est sûrement pas inconnu. En effet, la belle brune figure au casting de la série espagnole « La Casa de Papel ». Le succès lui est-il donc monté à la tête ? MCE TV vous dit tout de A à Z.

Ursula Corbero a tout d’une superstar. Connue sous le nom de code de « Tokyo » dans la série de cambriolage à succès, la star a vu sa vie changer du tout au tout.

La braqueuse récolte donc la rançon de la gloire. Jolie, talentueuse et scandaleuse, elle crève l’écran au côté de ses co-stars, bien qu’elle soit plus souvent au centre des projecteurs.

D’ailleurs, c’est une passion qu’elle a depuis toute petite. Pour preuve, l’actrice a fait ses débuts à la télé dans une pub à l’âge de 6 ans ! Puis, elle a décroché des petits rôles, dont celui de « Ruth », une jeune lycéenne dans Physique ou Chimie.

À l’époque, la série n’avait pas une portée mondiale, si ce n’est en France où elle passait sur June et NRJ. C’est donc son rôle dans la célèbre série « La Casa de Papel » qui l’a fait connaître du grand public, 10 ans plus tard.

L’ado star a bien grandi depuis, entre débuts difficiles, addiction à l’argent et changement de style. Voici comment Ursula Corbero, vedette de La Casa de Papel, a fait face à ce nouveau succès.

Ursula Corbero: comment vit-elle le succès de La Casa de Papel ?
Ursula Corbero: comment vit-elle le succès de La Casa de Papel ?

Ursula Corbero: une actrice dépensière ?

Avec le succès de la série, Ursula a accumulé une richesse folle. Un montant mirobolant que beaucoup envient et qui doit lui brûler les doigts.

« Au début, je me sentais un peu bizarre à l’idée d’être célèbre », disait-elle en entretien avec Yo Dona. L’actrice, originaire d’un petit village perdu en Espagne ne comprenait pas vraiment ce qui lui arrivait !

Pourtant, elle gère aujourd’hui sa fortune avec la plus grande des précautions. Pour cause, son compte n’a pas toujours été dans le vert…

Vous n’êtes pas sans savoir qu’Ursula Corbero a fait fortune bien avant La Casa de Papel, grâce à ses rôles dans des productions locales. Mais cette petite notoriété lui a fait perdre pied et le sens des réalités. C’est alors qu’elle découvre un tout nouveau pouvoir : celui de l’argent.

« C’était merveilleux d’avoir de l’argent, c’est certain. Mais j’ai tout perdu. C’est ce qui arrive quand tu es jeune et que tu n’es pas habituée », déplore-t-elle.

Ruinée dès le début de sa carrière, elle a dû faire face à une période plutôt difficile. « L’argent a une autre valeur à mes yeux », précise la star, qui affirme avoir « énormément changé ».

« À l’époque, je me disais ‘je sors avec mes amis de mon village et je les invite à dîner’. C’était incroyable, je vivais en périphérie de Madrid et quand je prenais un taxi, […] j’en avais pour 40 euros aller/retour ».

Néanmoins, « Ursulolita » ne regrette en aucun cas ses excès passés. Mais sa maturité ne lui fera pas reproduire les mêmes schémas.

 

 

Ursula Corbero: un look qui s’affirme, à l’image de sa gloire

Ursula Corbero a endossé de nombreux rôles, dont deux qui lui collent à la peau : celui de Tokyo, dans la série à succès. Puis, celui de Ruth, élève à Zurbaran dans Physique ou Chimie.

Lorsqu’on voit une photo avant/après, on se dit d’office qu’il y a deux salles, deux ambiances. Il faut dire que la jeune « Ruth » revient de loin.

Ruth représente le début de sa carrière, l’époque où elle était encore une jeune fille qui découvre le show-business. Blonde, elle arborait une frange et un look un peu emo, typique des années 2000.

Puis, vint l’époque de La Casa de Papel, où elle affirma davantage son bon goût pour la mode. « La mode est un formidable terrain de jeu pour s’exprimer », raconte-t-elle à Madame Figaro.

« Le vêtement possède un réel pouvoir à mes yeux », poursuit-elle. « Il nous aide à être nous-mêmes, parfois même à nous sentir plus fortes ».

La fashionista a autrefois eu un blog de mode. Mais avec le succès de La Casa de Papel, elle nous offre un look bien plus soigné, comme arrivé à maturité.

Coupes courtes, lipstick rougeoyant, tenues chics et de marque, la Lolita a laissé place à une femme affirmée qui porte la coupe courte noire corbeau comme personne. Cette même coiffure qu’arbore Tokyo, son personnage à l’écran, non pas sans une inspiration à la Nathalie Portman dans Léon.

Ursula est aussi une véritable égérie de mode. Elle est devenue le visage de plusieurs marques, comme Stradivarius, Maybelline, Calzedonia ou encore Bulgari.

 

 

Ursula Corbero: humble face au succès, digne face à la critique

Celle qu’on surnomme désormais Tokyo aurait pu tourner en diva infernale. Eh oui, avec une série à succès comme La Casa de Papel, elle aurait pu prendre la grosse tête.

Ce qui est sûr, c’est qu’elle a un certain charisme. Mais aussi un franc-parler et du répondant, comme le prouve son entretien avec Blupper.

Dans celui-ci, l’actrice dévoile ce qui l’irrite au plus haut point depuis le succès de la série. En effet, elle ne supporte pas que ses haters « commentent quelque chose d’horrible sous l’une de mes photos ».

Face à cela, elle a dû « apprendre canaliser les choses ». Même si elle admet que ça n’est pas facile de devoir rester digne face à la critique.

Ce serait mentir que de dire que sa prestation dans sa série pour ados égalait celle de « Money Heist ». Il est certain qu’elle a fait un bout de chemin et que le temps a joué en sa faveur.

Ce qui n’empêche pas ses détracteurs d’avoir la critique facile et de pointer du doigt le moindre faux pas. Plus tôt, la presse espagnole accusait la star du petit écran d’organiser des parties fines ! Tout cela parce qu’en 2016, Ursula faisait face à une « intense éclosion hormonale », comme elle le dit.

Aurait-on dit la même chose si Ursula Corbero avait été un homme ? Après tout, les mauvaises langues ont tendance à « voir comme une perverse » toute femme « qui couche pour s’amuser », comme elle le déplorait déjà avant le succès de La Casa de Papel.

 

 

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