Netflix sort aujourd’hui un documentaire sur les attentats du 13 novembre à Paris. Intitulé « 13 Novembre : Fluctuat Nec Mergitur », il donne la parole aux survivants et otages des attentats.
Netflix sort aujourd’hui un documentaire sur les attentats du 13 novembre. Sous la forme de petite série, il retrace les évènements de cette terrible soirée. Et donne la parole aux témoins, survivants et otages.
Netflix sort le documentaire « 13 Novembre : Fluctuat Nec Mergitur »
Le documentaire Netflix sur les attentats du 13 novembre à Paris, intitulé « 13 Novembre : Fluctuat Nec Mergitur » vient de sortir. Il prend la forme d’une petite série et retrace chronologiquement cette soirée d’horreur.
Les réalisateurs Jules et Gédéon Naudet laisse la parole aux survivants, aux otages qui étaient sur les terrasses, au Stade de France, et au Bataclan.
Le documentaire interroge les survivants des attaques, les secours qui ont sauvé des vies et les forces de l’ordre qui ont tout mis en oeuvres pour arrêter les terroristes.
Un documentaire Netflix qui dérange ? qui vient trop tôt ?
Même si certaines scènes peuvent choquer, voire nous replonger dans l’horreur, ce documentaire est considéré comme s’adressant à tous public, sans restriction ni message d’information.
L’association de victimes 13Onze15 : Fraternité et Vérité a exprimer ses regrets quant à la démarche. Elle exprime « ses plus vifs regrets que cette production qui se veut un documentaire sur les conséquences du terrorisme aborde le sujet en choisissant d’occulter la douleur du deuil ».
L’association a d’ailleurs posté un tweet pour montrer ses regrets quant à la réqlisation de ce documentaire.
« Cependant @13onze15 aurait apprécié d’etre egalement entendu! Une occasion ratée…et c’est bien dommage! » peut-on lire sous le tweet.
Cependant @13onze15 aurait apprécié d'etre egalement entendu! Une occasion ratée…et c'est bien dommage! https://t.co/tKjG6hoAYW
— fraternité et vérité (@13onze15) 23 mai 2018
Le documentaire déjà sorti, il n’est tout de même pas toujours bien reçu par les spectateurs. Certains se disent « pas prêt » ou que « c’est trop tôt » pour aller jusqu’à en parler si ouvertement. Pour d’autres, c’est même une forme « d’exploitation commerciale » de l’horreur.
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