Depuis la série La Casa De Papel, l'acteur espagnol Jaime Lorente peine à supporter sa notoriété. Il déteste le succès !
Invité sur le plateau de l’émission espagnole La Resistencia, Jaime Lorente est revenu sur sa célébrité depuis la Casa De Papel. Il n’en peut plus ! MCE vous explique tout.
Certaines personnes rêvent du succès. D’autres la fuient. Depuis quelques années, l’acteur espagnol Jaime Lorente se retrouve sous les feux des projecteurs.
En effet, l’interprète de Denver dans la série à succès « La Casa De Papel » figure parmi les comédiens les plus célèbres dans le monde entier.
Ainsi, Jaime Lorente peut se targuer d’avoir l’une des plus grandes célébrités. Et pourtant, le jeune homme aimerait retrouver la sérénité et la normalité.
En bref, le petit-ami de María Pedreza adorait sa vie d’avant. C’est-à-dire, sans les paparrazzis qui traquent tous ses moindres faits et gestes.
Aussi, sans les spéculations autour de sa vie privée. Donc, sans les médias, sans les fans, et sans toute l’attention que le monde lui porte.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le comédien de 28 ans ne cache pas son ras-le-bol. Lors de son passage dans l’émission La Resistencia, ce dernier l’a évoque.
D’après lui, le succès est « difficile » à gérer. « C’est beaucoup de stress social. C’est foutu, c’est reconnaissant mais difficile… » a-t-il expliqué.
Jaime Lorente n’arrête pas de le dire
En tout cas, ce n’était pas la première fois que Jaime Lorente s’exprimait sur son succès. Il ne supporte guère sa célébrité !
Dans un entretien accordé à Vis-à-Vis, le jeune homme expliquait que « le niveau d’exposition est parfois brutal et vivre avec n’est pas facile, surtout si tu as envie de vivre une vie tranquille.«
« Il y a des gens qui aiment le bruit et la lumière mais moi, ce qui me plait, c’est mon métier. Tout le reste, je l’accepte comme une conséquence », avait-il expliqué.
Puis Jaime Lorente avait tout de même conclu sur une note positive : « J’ai dû apprendre à gérer ma notoriété car souvent, j’avais l’impression qu’elle empiétait sur ma vie intime. »