Culture
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Fabienne Carat (Plus belle la vie) souffrait d’un étonnant trouble !

Fabienne Carat (Plus belle la vie) souffrait d'un étonnant trouble !

Fabienne Carat, l'actrice de Plus belle la vie a confié qu'elle avait beaucoup souffert de dysmorphophobie !

Fabienne Carat, l’actrice de Plus belle la vie a confié qu‘elle avait beaucoup souffert d’un trouble durant son adolescence. MCE TV vous raconte donc tout en détail !

Dans son livre autobiographique intitulé Danse avec la vie, Fabienne Carat s’est beaucoup confiée sur sa vie privée. Ses fans ont donc pris connaissance de ses péripéties durant son adolescence.

Fabienne Carat s’est donc confiée sur le sujet à nos confrères de Télé 7 Jours. Elle a aussi évoqué une période très douloureuse. Celle de son manque de confiance en elle dû à un trouble étonnant !

Il s’agit alor: s de la dysmorphophobie. On parle alors d’un trouble obsessionnel du comportement. Les personnes qui en sont atteintes se focalisent sur un défaut, parfois imaginaire.

“Si à 25 ans, j’avais pu me sentir aussi bien qu’aujourd’hui, j’aurais conquis le monde ! Mais je n’ai pas dit mon dernier mot“.

“Moi qui, adolescente, souffrais de dysmorphophobie, je me sens beaucoup mieux dans ma peau, bien qu’il reste du chemin à parcourir“.

Fabienne Carat (Plus belle la vie) souffrait d'un étonnant trouble !
Fabienne Carat (Plus belle la vie) souffrait d’un étonnant trouble !

Fabienne Carat se sent mieux dans sa peau

À ce jour, Fabienne Carat va bien mieux. Elle est même “pleine de fougue, de rêves et d’envies“. Elle s’est même lancée dans un nouveau projet. Celui de lancer son émission Web 100% Carat :

“Nous étions en équipe très réduite, dans des décors extérieurs. Le jardin de Samia avait été recréé exprès par la production. Nous n’étions même pas sûrs de pouvoir rentrer à Paris, c’était dingue“.

Et sa routine semble avoir changé depuis la période de confinement. Fabienne Carat a donc confié : “Le plateau ressemblait à une cour d’école, où chacun retrouvait ses copains malgré les conditions sanitaires drastiques : nous enlevions nos masques au dernier moment, chaque accessoire était désinfecté avant de jouer »

« Nous n’avions ni maquilleur, ni coiffeur, ni habilleur. (…) On a tous pris conscience de la chance de faire ce métier et donc de l’importance des postes de chacun“.

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