Booba a encore sorti ses phrases provocatrices. Mais cette fois, il semblerait que personne ne l'ai remarqué. Dans un morceau il sort une phrase très limite !
Le rap demeure actuellement la musique la plus commercialisée en France. Le chanteur Booba sert de parfait exemple , avec notamment son dernier album qui lui a valu un double disque de platine. Mais certaines de ses paroles brutales ne semblent pas alerter son publique.
Le chanteur à succès dérape dans un de ses morceaux
Il semblerait que le provocateur Booba n’ait plus de limites. Le rappeur qui se surnomme le « Duc de Boulogne » connait un gros succès auprès du public, et ce, depuis des années. Alors qu’il sort son dernier album « Trône » en 2017, il devient double disque de platine. Un mois et demi après la sortie du CD, Booba a réalisé le meilleur démarrage de sa carrière. Seulement le rappeur fait aussi beaucoup parler de lui, pour ses nombreux clashs et propos choquants. Mais cette fois dans un morceau de son dernier album il va trop loin. Mais son public n’a pas semblé s’offusquer.
Dans son morceau « Terrain » le rappeur dérape avec ses allusions aux « Kouffar » et aux « 70 gows ». Alors que son dernier album a quasiment fait l’unanimité, la critique semble avoir ignoré certaines paroles excessives. En effet dans son morceau, Booba reprend un refrain particulièrement inconvenant.
« Beaucoup trop d’banlieusards au shtar, le responsable c’est leur bigo
J’vais m’faire péter chez un kouffar, décapsuler 70 gows
Dans l’rap B2O c’est un cauchemar, 92 parle en kilos
Comme la police t’arrives trop tard, sur le trône à jamais amigo »
Des propos très choquants
Alors que « shtar » correspond ici à la prison, sa phrase d’après pose des questions. Il utilise une expression pas vraiment anodine lorsqu’il parle de « Kouffar ». Ce terme sert à désigner les mécréants, autrement dit les non-musulmans. A cela s’ajoute l’expression grossière : « décapsuler 70 gows ». Là non plus ce n’est anodin, Booba évoque en fait les 70 vierges qui attendent les martyrs d’Allah au paradis. Pas très délicat ce refrain quand on sait qu’il y’a quelques jours, le terrorisme islamique avait encore frappé Paris. Ce dérapage n’a pas semblé attirer l’attention de ses fans, et a subsisté en toute tranquillité.