Culture
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Sofiane clashe Le Parisien après un article « d’analyse de la culture urbaine » !

Sofiane clashe Le Parisien après un article "d'analyse de la culture urbaine" !

Sofiane tâcle le média Le Parisien suite à un article sur l'analyse de la culture urbaine. Pour lui, le journaliste écrit "n'importe quoi".

Sofiane tâcle ouvertement un article de Le Parisien. Un journaliste du média tente d’écrire sur « l’analyse » de la culture urbaine. Mais la subtilité est là et provoque un décalage qui se ressent entre le Rap et le mouvement hip-hop en général. Mais aussi et surtout un décalage avec les médias mainstream.

Voici un extrait de l’article de Le Parisien : « C’est une manière de dire : Tu comptes pour moi et je peux compter sur toi. Une façon de montrer qu’il existe un vrai feeling entre nous. Mais ça peut aussi vite devenir un tic de langage comme genre », préviennent ces fils de bonne famille. Le plus étonnant, c’est que désormais les filles entre elles se donnent du « frère » plutôt que de la « sœur », comme s’il n’y avait plus de distinction de sexe. »

Le journaliste insiste bel et bien sur le terme “Frères”. Car les jeunes ont de plus en plus l’habitude de s’appeler comme ça entre eux. Pour lui, c’est un étonnement et une grande stupeur car tous ces jeunes n’ont visiblement aucun lien de parenté. Il en rajoute en disant que ce « tic » de langage proviendrait en réalité du monde du Rap… Le Rap serait donc la cause de cette proximité. De dire que « nous sommes tous des frères« . Sofiane se marre.

Sofiane : pour lui, Le Parisien écrit « n’importe quoi »

Voici un second extrait de l’article de Le Parisien : « C’est une alternative à « frère », un synonyme qui, lui aussi, prend toujours plus de place dans les conversations d’ados. « Gro », souvent écrit « gros », boucle aussi les fins de phrase des jeunes. Ce mot, en réalité affectueux et respectueux, n’a, au départ, rien à voir avec l’embonpoint. C’est le diminutif du mot « négro », dénué, dans ce sens, de toute connotation raciste et injurieuse. Il est inspiré du terme anglais « nigger » ou « nigga », très populaire aux Etats-Unis au sein de la communauté afro-américaine. »

Le journaliste s’attaque donc ensuite à « l’étymologie du mot “Gros”. Ce terme très populaire est apparu par le morceau « Ouai Gros » de 113, un extrait de “Les Princes de la Ville”. L’auteur de l’article stipule donc que Gros proviendrait du terme Negro. Sauf qu’il se trompe complètement. Sofiane tente de recadrer le journaliste en disant que “Gros” est une expression raccourcie de “Gros Bonnet

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