Le rappeur Naza nous présente son EP intitulé "Tout pour la street" ! Estampillé Bomayé Musik, Naza prévoit déjà un nouvel EP et un album !
Le rappeur originaire de Créil, Naza, balance son EP « Tout pour la street » ! Disponible depuis le 21 octobre déjà, le rappeur nous parle de ses différentes collaborations et aussi de ses projets.
Naza prépare déjà un nouvel EP et aussi un album pour 2017 !
Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je m’appelle Naza, je suis un artiste Bomayé Musik. Ça fait un an et demi que j’ai signé dans ce label.
Quel est le retour des fans sur ton nouvel EP « Tout pour la street » ?
Tout le monde aime bien ! Les gens ont validé, ils en voulaient plus ! On a donné 6 titres pour donner un peu de matière. Le 21 décembre j’en redonne un autre et en 2017, l’album normalement.
Peux-tu nous en dire plus sur ton EP de décembre ?
Je crois que je vais faire moins de featurings parce que là, sur 6 titres, j’ai fait 3 featurings quand même. Là je crois que je vais en faire peut-être un ou deux maximum. Ou peut-être même qu’un ! Les featurings avec Keblack je les compte pas parce qu’on est toujours ensemble. Donc je vais voir !
Comment définirais-tu ta musique ?
Je fais de tout ! De l’afro, du rap, dès fois je chante.
Pour Naza c’est « Tout pour la street » !
Comment s’est passé le tournage de ton clip « Tout pour la street » ?
Très long ! Il y avait beaucoup de retard, c’est la street ! Pour faire le petit barbecue que vous avez vu, c’était une galère ! Sinon c’était bien, il y avait une bonne ambiance ! William Thomas (le réalisateur) est très lourd !
Avec ce morceau tu as voulu faire un clin d’œil à la cité ?
Je suis tous les jours à a cité. Je ne suis pas quelqu’un qui va en boîte ; juste la chicha, j’aime fumer la chicha mais je vais pas trop dans les chichas. C’est juste ça. Mais je suis toujours au quartier !
« Qui m’empêche » est en featuring avec Youssoupha, peux-tu nous parler de cette collaboration ?
Déjà l’instru est de moi, j’étais posé dans une voiture, j’ai eu une mélodie et je l’ai enregistrée. J’ai demandé à notre beatmaker, Christopher Ghenda, très très lourd, je lui ai fait écouter le truc, il a kiffer, il a fait ça. J’ai fait le premier couplet puis le refrain. Youssoupha traînait dans les studios, et il a dit « Ha il faut que je pose dessus ! », et il a posé dessus !
Naza s’inspire des mélodies africaines !
Tu as aussi collaboré avec Niska, raconte nous cette rencontre.
On s’est rencontré dans des studios quand personne me connaissait. Ensuite on a fait un son, c’était obligé. C’est Mike One, le DJ, qui nous a mis en contact.
Qu’est-ce qui t’a le plus inspiré ?
Les mélodies africaines, congolaises, c’est ça qui m’inspire.
Qu’est-ce que tu écoutes en boucle ?
Le son de Aya, « Comportement », en ce moment c’est ça !