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Joyce Jonathan dévoile les coulisses de son clip « Les p’tites jolies choses » ! (ITW)

À l'occasion de la sortie de son clip "Les p'tites jolies choses", la chanteuse Joyce Jonathan raconte l'histoire de ce titre à MCE TV.

À l’occasion de la sortie de son nouveau clip « Les p’tites jolies choses », la chanteuse Joyce Jonathan raconte l’histoire de ce titre à MCE TV. Le clip, sorti le 28 mai 2021 sur YouTube, est disponible sur toutes les plateformes de streaming !

Qui es-tu et que fais-tu ?

Joyce Jonathan : Alors bonjour, c’est Joyce Jonathan. Eh bien, merci de m’avoir suivie sur ce tournage du clip « Les p’tites jolies choses ». C’est mon nouveau single !

Comment s’est passée la conception de cette chanson ?

Joyce Jonathan : Il y a pile deux ans, j’ai rencontré plein de personnes qui m’ont beaucoup inspirée. Aussi bien dans ma vie personnelle que dans ma vie professionnelle. Et c’est une chanson qu’on a écrite et composée à trois, avec deux artistes qui s’appellent Thomas Caruso et Mark Weld. En fait, j’avais cette idée de thème très précisément dans ma tête donc je leur en ai parlé. Et ils ont eu tellement d’idées pour développer tout ça, on a vraiment développé ça tous les trois, dans un petit studio dans le centre de Paris. La chanson, on l’a faite… je ne sais pas, en une heure ! On l’a enregistrée directement. Et il y a même des petites choses qu’on a enregistrées le jour J, qu’on a gardées dans la chanson finale.

Comment as-tu choisi la manière de mettre en image cette chanson ?

Joyce Jonathan : Alors, c’est toujours compliqué de mettre en image une chanson parce qu’il ne faut pas être trop proche du texte. Sinon, c’est vraiment très, très littéral. Et je pense que ce qui est trop bien dans une chanson, c’est que chacun en a son interprétation. Du coup, avec un clip, ça rajoute une autre interprétation aussi. On a contacté pas mal de réalisateurs différents. C’est souvent ce qu’il se passe quand on fait un clip en fait. Il y en a un qu’on a particulièrement aimé, de Jeanne Gay. C’est donc la réalisatrice du clip aujourd’hui. Donc, Jeanne Gay nous a proposé un scénario qui collait vraiment avec des idées qu’on avait déjà un peu en tête. C’est un clip qui est ultra-réaliste, mais avec des petites touches de magie.

C’est un clip « instagrammable » ?

Joyce Jonathan : Ouais, c’est un clip un peu Pinterest, « instagrammable ». Moi, je sais que c’est terrible, et je me restreins un peu là-dessus, mais comme j’adore faire des belles présentations, j’ai trop envie de prendre en photo tous mes plats ! Donc il y en a que je poste parfois, mais je me dis : « Bon… » Et il y en beaucoup qui sont restées dans mon téléphone.

Après avoir choisi la réalisatrice, quelles sont les étapes pour arriver jusqu’au clip ?

Joyce Jonathan : Alors, j’ai la chance de travailler avec des équipes extraordinaires et hyper patientes qui font que, que ce soit pour la séance photo de l’album ou pour le clip, on a fait beaucoup de réunions pour être sûrs qu’on allait dans la bonne direction. Donc le résultat est assez cohérent entre la séance photo et le clip. On voulait quelque chose de naturel, mais qui ne soit pas non plus trop basique. Donc il y a beaucoup de fleurs, il y a beaucoup ce côté très organique.

Et là, ce qui est génial, c’est qu’on a tourné beaucoup de séquences qui sont très, très proches du scénario. Et ça, c’est rassurant ! Parfois, on se retrouve sur un tournage et en fait, ça part dans tous les sens, on n’a pas le temps de faire les choses. On a pu reproduire la crêpe, que je sens. Elle sentait vraiment très bon d’ailleurs ! Avec des petites fleurs dessus. Cette palette de peintre qui est en fait une tartine. Des toasts qui sortent avec un petit smiley. Et c’est vrai que ce sont des trucs qui peuvent paraissent un peu « bête », mais qui peuvent rendre hyper heureux en fait. Moi, j’ai un bonheur qui est assez premier degré justement.

Comment se passe une journée de clip comme aujourd’hui ?

Joyce Jonathan : Une journée de clip comme ça, c’est hyper intense. Alors en plus, je suis une jeune maman donc mes nuits sont hyper intenses ! Je me suis réveillée ce matin, il fallait lui donner à manger. Il fallait que je me lave les cheveux pour avoir les cheveux au top pour la journée de clip. Et puis, partir de chez moi à 7h30. Je suis arrivée sur place à 8h, on a fait : coiffure, maquillage, habillage. On a tourné jusqu’à 13h30. On a fait la pause déj’. Et là, l’après-midi va continuer, ça va être un très gros après-midi. Je pense qu’on va finir vers 20h30.

La maison dans laquelle nous sommes, c’est un choix que tu as fait ?

Joyce Jonathan : Ouais alors, j’ai vraiment beaucoup de chance d’avoir cette liberté-là, de pouvoir valider les choses avec mon équipe. C’est la réalisatrice qui a trouvé cet endroit précisément. C’est une très belle maison, tout le monde n’habite pas dans une maison aussi bien rangée et aussi belle.

Et pour toi ? Quelles sont tes « p’tites jolies choses » ?

Joyce Jonathan : Ça, je l’ai réalisé pendant le premier confinement parce que j’étais à la campagne. C’est de voir la nature évoluer et se rendre compte du temps qui passe de cette façon-là. C’est incroyable ! Dans mes petits bonheurs, je suis assez « girly » : trainer en peignoir, me faire un masque qui sent trop bon, des bonnes odeurs, prendre un bain pendant 3h. C’est surtout le bien-être mes p’tites jolies choses et puis, c’est évidemment les gens que j’aime.

Une chose à rajouter ?

Joyce Jonathan : Pour la séance photo par exemple, on est allé dans ma maison dans le Sud. Parce que les p’tites jolies choses, c’est aussi des choses qui sont intimes et propres à chacun. Il y a des p’tites jolies choses que tout le monde aime. Et il y a des p’tites jolies choses qui sont hyper intimes.

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