Culture
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Ishtar: Son message de tolérance et de rassemblement avec son nouvel album « Baila » !

Ishtar Son message de tolérance et de rassemblement avec son nouvel album Baila !

Pour son grand retour, Ishtar revient avec un message de tolérance et de rassemblement, elle a d'ailleurs confié «Mon album fait le pont entre les cultures et les générations»

Connue pour ses tubes « Alabina » (BOF « La vérité si je mens ! ») et « Salma ya salama, Olé y Ola », la chanteuse aux origines multiculturelles signe son grand retour avec BAILA, un album pop aux couleurs gipsy orientales, véritable invitation à la fête et à la danse.

Ishtar: Son message de tolérance et de rassemblement avec son nouvel album « Baila » !

Avec « A PARIS », titre solaire et entraînant, et premier single extrait de son nouvel album, Ishtar nous fait partager son attachement à Paris, et à l’esprit de fête qui y règne. Happée par l’atmosphère de cette ville et captivée par la richesse de sa population de tous horizons, elle en est tombée amoureuse il y a vingt ans. De sa voix chaude et envoûtante, Ishtar nous livre avec « A PARIS », un hymne à la tolérance, un message universel et fédérateur, qui place la ville lumière en symbole de fête et d’union.

A l’instar de ce premier single, le nouvel album d’Ishtar, BAILA, est fidèle à ses origines méditerranéennes : un album pop aux sonorités gipsy orientales. La production et les arrangements se veulent résolument modernes, signés Skalp, Matthieu Mendes ou encore Quentin Bachelet.
Avec ce nouvel album, Ishtar nous fait découvrir des titres inédits et redécouvrir des standards à travers des reprises solaires interprétées tantôt en français, tantôt en espagnol et parfois même en égyptien. Parmi les titres qui composent l’album BAILA, Ishtar nous offre deux inédits écrits par Indila et composés par Skalp : « Baila » allie message de vie et d’espoir à des sonorités arabisantes et urbaines, et « Pour toi et moi » nous invite à célébrer l’amour entre deux êtres. « Tourne-moi la tête », autre inédit, a été écrit et composé par Matthieu Mendes et Davide Esposito. Parmi les reprises présentes sur cet album, on retrouve les chansons « Petite Marie » et « Foule sentimentale » habillées de sonorités orientales, une version franco espagnole du célèbre titre d’Edith Piaf, « La foule / Amor de mis amores », ou encore une reprise énergique et vibrante du titre cubain de Celia Cruz « La vida es un carnaval ».

Tout au long de son album BAILA, Ishtar nous fait voyager vers des destinations chaudes et ensoleillées, à travers sa voix cristalline tantôt gipsy, tantôt orientale et au son de chansons très rythmées et de ballades émouvantes. Un album qui rassemble autour d’une musique pleine d’entrain prônant l’exaltation, la joie de vivre et la fête.

« Mon album fait le pont entre les cultures et les générations. Il mélange les langues et incite à s’ouvrir aux autres, ce que j’ai toujours fait à travers ma carrière »

Née d’un père marocain d’origine espagnole et d’une mère égyptienne, Ishtar grandit dans la tradition méditerranéenne. A la maison on parle français et arabe. L’école et la rue se chargent d’apprendre l’hébreu et l’anglais aux enfants. Dans la famille, on prend la vie en chantant des airs venus d’Espagne, où est né le grand-père paternel « Quand je lui rendais visite, j’entendais ces chants que je prenais pour des psaumes… », des chants venus d’Égypte, mais aussi de France « Mon père qui a vécu dans un Maroc francophone, jouait de la guitare et m’a fait découvrir très tôt Brel et Aznavour… ».

La jeune adolescente détient la Vie dans sa voix… Son idole, c’est Barbra Streisand dont elle chante les standards à tue-tête, fenêtre ouverte. « Mon père avait accepté que je me produise, mais exigeait que je n’abandonne pas mes études, au-moins jusqu’au bac, précise-t-elle. Ce que j’ai fait. » A 22 ans, la jeune femme décide ensuite de parcourir le monde. Neuf mois en Australie, des escales à Londres et Singapour avant un atterrissage prévu en Italie… Alors qu’elle pense rentrer chez elle, elle décide de faire un détour à Paris pour rendre visite à une amie. Mais elle tombe sous le charme de cette ville et décide de s’y installer ! « Je me suis tout de suite sentie bien à Paris. J’ai adoré ce mélange de cultures. Je pouvais rester des heures sur un banc à regarder passer les gens. ».

Ishtar parcourt les pubs, cafés et autres lieux de fête de la capitale pour chanter. Elle se mêle aux choristes de Julien Clerc, qu’elle accompagne en télé. Une période trépidante… « Je découvrais la vie de bohème, la vie d’artiste… ». En 1995, on lui propose de poser sa voix sur une chanson populaire égyptienne, « Alabina ». En studio, elle découvre le groupe Los Niños de Sara, cousins des Gipsy King. Ces chants gitans lui rappellent son grand-père. « Etonnamment c’était la première fois que je chantais en arabe.», confie-t-elle. L’alchimie entre eux est telle qu’ils décident de former le groupe Alabina, hommage au titre qui les a réunis. Leur chanson devient un tube planétaire, porté par le film « La vérité si je mens ! » aux 5 millions d’entrées en salle. Leur répertoire prend une forme multiculturelle mêlant les musiques espagnoles, gitanes et arabes sur des textes en français, arabe, espagnol ou hébreux, portés par une production dans l’air du temps : « Mes racines ont parlé », résume Ishtar. Le groupe enchaîne les albums et les succès (« Lolole », « Salma ya salama – Olé y ola », « Habibi de mis amores »).

Puis en 2000 Ishtar décide de prendre son envol avec un premier album solo (« Ishtar, la voix d’Alabina ») sur lequel sera extrait le titre « C’est la vie », bande originale du film « La vérité si je mens 2 ! » qui comptabilisera 7,8 millions de spectateurs. S’enchaîneront 4 albums et des shows à l’international, en Amérique du Sud, Australie, Europe, Israël, Russie… Au total, 2 millions d’albums vendus à travers le monde.

Après une pause dans sa carrière pour se consacrer à ses enfants, Ishtar revient donc aujourd’hui, radieuse et toujours aussi pétillante, pour nous faire danser tout l’été au son chaleureux et énergique de BAILA.

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