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Le CV d’Alrima: il raconte le jour où il a mis le feu à sa cuisine ! (ITW)

Le rappeur Alrima dévoile ses passions pour le foot et la boxe chez MCE TV et il se confie sur ses anecdotes les plus hilarantes.

Dans ce nouveau numéro de notre interview CV, le rappeur Alrima parle de ses passions et raconte ses anecdotes les plus folles pour MCE TV. L’interprète de Jusqu’au bout nous raconte tout de A à Z !

Nom, prénom et surnom ?

Alrima : Faouzi Sadouki et mon nom de scène, c’est Alrima. Mon frère à l’école, il faisait espagnol en fait. Donc j’ai pris un petit dictionnaire espagnol et on cherchait des noms comme ça. Et en fait, il y avait « la rima », ce qui voulait dire la rime. Moi j’ai inversé le « la » en « al ».

Date et lieu de naissance ?

Alrima : 27/08/1997, je suis né à Arpajon.

Diplômes ?

Alrima : J’ai la carte Vitale. C’est un diplôme la carte Vitale attention eh ! J’ai la Sacem aussi. Bref, c’était chaotique l’école. J’ai arrêté en 3ème, je crois.

Compétences ?

Alrima : Je sais jouer au foot. Je ne suis pas pro, mais je me débrouille. P****** mais je remets en question ma vie là.

Journaliste : Et la cuisine ?

Alrima : Je suis trop pété ! La dernière fois, j’ai fait… Bon allez, c’est parti, on y va. Je suis chez mon père, il part à Nîmes chez la famille. Il me laisse tout seul. Mais quand je te dis il me laisse tout seul, j’avais 18 piges peut-être, tu vois ? Tranquille, tu peux me laisser une journée tout seul. Je fais des frites donc. J’ai déjà la friteuse, l’huile. Je mets les frites. J’oublie ! Je reviens, je vois ça sent le gaz de ouf. Et je dis « P***** j’ai oublié les frites ».

Je prends la friteuse, je la mets dans le robinet. Puis j’allume l’eau. Oh la vie de ma mère… une flamme de fou, ça a cramé toute la cuisine ! Dans le bâtiment, on descend tous, extincteurs… En plus, ils mettent des extincteurs dans les bâtiments qui ne marchent pas. En gros, je ne sais pas cuisiner, ne me donne pas ta cuisine donc. À part si tu veux la refaire en fait !

Expériences marquantes de ta vie ?

Alrima : Je travaillais à la Poste et j’avais déjà du buzz. Donc j’étais quand même reconnu dans la rue. Surtout dans mon secteur, c’est encore pire. Et je livrais dans un collège en fait. Alors là mon pote ! C’était l’été, la vie de ma mère, il faisait au moins 30 degrés. Je mettais une écharpe comme ça. Je mettais une casquette, un gilet et je fonçais comme ça. J’avais des colis à donner, il fallait que je rentre dans le collège avec la récréation. C’était une anecdote de fou. Quand on me disait : « Eh Alrima ? » Je faisais style : « Non, ce n’est pas moi ». Je baissais ma tête et je marchais comme ça. Comme si : « Vous vous êtes trompés messieurs ».

Hobbies ? Passions ?

Alrima : Mes passions sont le foot et la boxe. Le foot, j’en fais depuis tout jeune. J’étais même au centre de formation à Nîmes à l’époque. Donc ça va, j’en ai fait un peu a haut niveau quand j’étais plus jeune. Et ensuite la boxe, j’ai toujours kiffé, en vrai. La bagarre, les trucs… À la base, c’était la bagarre, toi tu regardes un petit peu la boxe, après tu essayes. Toi, tu crois que t’es chaud parce que t’es fort à la bagarre dans la rue. Donc tu te dis que t’es fort en fait, dans la « bagarre de boxe »… Mais non ! T’arrives à la boxe, ils te cassent tous la gueule, tu ne comprends pas pourquoi.

Qualités ? Défauts ?

Alrima : Mes qualités, c’est que je suis très gentil de fou. J’aime tout le monde en fait. Je veux donner de la force à tout le monde aussi. Et mes défauts ? C’est que je suis trop gentil aussi. Je donne de la force à tout le monde. Voilà !

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