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Booba clashe Maître Gims sur la triche dans le stream « Si tu n’as pas de noms, tu te tais » !

Booba clashe Maître Gims sur la triche dans le stream "Si tu n'as pas de noms, tu te tais" !

Dans une interview accordée à OKLM radio, Booba s'est exprimé une nouvelle fois sur son clash avec Maître Gims concernant les triches sur les stream. On vous explique !

Il semblerait que Booba se soit trouvé un nouvel adversaire. Depuis quelques mois, le rappeur et Maître Gims n’hésitent pas se clasher sur les réseaux sociaux. Dernièrement, le rappeur de Boulogne Billancourt lui a lancé un pic suite aux déclarations de Maître Gims concernant les triches sur les stream. On vous explique !

Booba explique son clashe avec Maître Gims !

Dans une interview accordée à l’émission #moresauce qui passe sur sa radio OKLM, Booba s’est exprimé sur de nombreux sujets, notamment le stream. Il en a ainsi profité pour expliquer son clash avec Maître Gims, et pour cause. Il y a deux mois, Maître Gims avait déclaré que certains rappeurs trichaient sur les stream. Le but ? Comptabiliser plus d’écoute et atteindre facilement le disque d’or. Il accusait donc ce nouveau système de fausser les données et de dévaloriser certains artistes « qui se battent réellement ».  Booba s’était senti concerné, puisque depuis plusieurs années, de nombreux rappeurs l’accusent d’une chose pareille. Il avait ainsi demandé à Maître Gims de donner les noms de ceux qu’il accusait.

Interrogé par le journaliste à ce sujet, il déclare d’un ton sarcastique: « C’est pas commissaire Streamzer ». Il ajoute: « C’est pas à lui de dire ça. C’est plutôt à des organisations comme la SNEP (Syndicat National de l’édition Phonographique), par exemple. Il fait de la délation sans dire de nom. Moi je suis pour que l’on dénonce les tricheurs. Mais pour bien le faire, il ne faut pas le faire à moitié : si tu as des noms tu le dis, si tu n’en as pas, tu te tais. »

Maître Gims dégouté !

Dans une interview accordée à Générations, Maître Gims s’était expliqué plus longuement sur le sujet. « Quand tu as un public, tu as un public. C’est une réalité ce qui se passe. Mon discours, c’est un discours de justicier. Je viens d’une époque où il n’y avait pas de streaming. On a fait les choses dans les règles, on s’est battu pour avoir des certifications », déplorait-il. Il a ajouté. « Et aujourd’hui ça me fait chier qu’avec un clic, un petit billet, tu paies des gens qui te multiplient tes vues, tes machins en streaming. Et qui pètent le champagne. »

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