Parmi la longue liste d'artistes participants aux "Solidays 2014" figurait les "Shaka Ponk". Ils répondent ainsi à l'appel pour la 4ème fois consécutive !
C’est la 4éme année déjà que le groupe Shaka Ponk participait au Festival des Solidays 2014, à l’Hippodrome de Longchamps. Le groupe de rock déjanté avait ramené son singe, grandeur nature, sous les chapiteaux des Solidays, pour enflammer un public de festivaliers plus motivé que jamais.
Une prestation engagée pour la lutte contre le SIDA
Le groupe des Shaka Ponk a mélangé les styles musicaux d’une main de maître afin de faire ressortir le tout en rythme, avec des images de synthèses animées, qui ont éblouies le public.
Ils répondent toujours présents pour mettre le feu aux planches. Et cette fois, il sembleraient que les artistes du groupe, aujourd’hui au nombre de 6, apprécient tout particulièrement de se produire au festival des Solidays. Ils ont confiés croire, dure comme fer, en la réussite de l’initiative Solidays et éprouvent beaucoup de fierté à participer à cette noble cause.
Steeve, le claviériste du groupe exprimait son sentiment : Nous sommes hyper fiers d’être ici, de pouvoir représenter un engagement personnel, un engagement au niveau du groupe, pour ce festival là, qui rassemblent des idées, mais aussi des artistes en construction et en voie de développement.
Un véritable record de dons pour cette édition des « Solidays 2014 »
Si les Shaka Ponk ainsi que leurs acolytes peuvent réunir des centaines de milliers de festivaliers, c’est pour leur permettre de s’amuser, de chanter et de danser, au rythme de leurs morceaux. La cerise sur le gâteau étant celle de faire le tout en soutenant la lutte contre le SIDA ! Que demander de plus ?
Le moins que l’on puisse dire c’est que, grâce à la générosité de tous ses artistes, faisant le déplacement, chaque année, pour le bonheur de tous, cette 16ème édition du festival Solidays, a été un véritable succès.
Les Solidays 2014 ont battu de nouveaux records de fréquentation et ont obtenus plus de dons qu’ils n’auraient même pu l’imaginer.
Photo : DR