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Eddie the Eagle: découvrez notre top 5 de feel-good movies !

Pour la sortie de Eddie the Eagle ce mercredi 4 mai, MCE vous propose un top de feel-good movies qui vous redonneront du baume au coeur !

A l’occasion de la sortie d’Eddie the Eagle ce mercredi 4 mai, MCE vous livre son top 5 de « feel-good movies », ces films qui nous ravissent !
Un but qui semble impossible à atteindre, une situation difficile, les héros de ces films ont au début des bâtons pleins les roues. Mais ils parviennent malgré tout à franchir tous les obstacles pour réaliser leurs rêves, et le dénouement nous redonne du baume au coeur !

1) Eddie the Eagle

Michael Edwards a depuis son plus jeune âge le rêve de participer aux Jeux Olympiques. Malheureusement, aucune catégorie ne lui correspond. Il passe son enfance et son adolescence à essayer tous les sports possibles en espérant pouvoir s’y perfectionner pour se présenter aux jeux, mais n’y parvient pas. La vingtaine atteinte, celui qui était dans une phase où son sport était le ski se tourne vers le « ski jumping », variante très compliquée de ce sport.
Mais voilà: ses adversaires dans la catégorie se sont entrainés dès l’enfance pour être les meilleurs, et Eddie n’a que quelques mois pour y arriver.
Un challenge que le petit rouquin à lunettes accepte sans frémir ! Car prouver à ceux qui ne croient pas en lui qu’ils ont tord, c’est « la chose qu’il aime le plus au monde ».

Un film qui vous donne du courage, d’autant plus qu’il raconte une histoire qui a vraiment eu lieu, celle de Michael Edwards, qu’MCE a eu le privilège d’avoir en interview. Le vrai « Eddie the Eagle » est formel: ce film raconte sa vraie histoire! Les seules différences sont que son père le soutenait en vérité autant que sa mère, et qu’il a eu plusieurs entraineurs qui ont dans le films été regroupés en un seul, le personnage de Hugh Jackman. Pour sa fameuse prestation qui le rendit célèbre, il suffit de la taper sur internet pour la voire ! Une histoire vraie qui peut aider n’importe qu’elle personne à croire en ses rêves.

2) Forrest Gump

On rencontre Forrest Gump assis sur un banc, attendant un bus. Il commence à raconter sa vie de façon un peu stupide à une femme assise à côté de lui qui ne lui a rien demandé, puis continue, avec les compagnons de banc qui se succèdent au fur et à mesure que les bus passent. On découvre rapidement que ce type qui commence une bonne partie de ses phrases par « maman disait toujours que… » a un QI inférieur à la moyenne, et on se dit qu’il doit être un peu perdu dans sa vie. Que nenni: tout en vivant comme un imbécile heureux, Forrest Gump a eu une vie plus riche et prestigieuse que n’importe quelle personne à la tête bien faite, et les passants finissent par partir, croyant qu’il fabule, ou par rester, fascinés par son récit.

Forrest retrace en fait naïvement tous les événements marquants de l’histoire américaine de la fin du XXè siècle à travers sa vie. Evénements dans lesquels il a été sans vraiment le vouloir impliqué, et face auxquels il a toujours réagi « du mieux qu’il pouvait », comme sa mère lui disait toujours de faire. Qu’est-ce qui a mené Forrest à rencontrer tous les présidents des Etats-Unis pour se faire récompenser des choses qu’il a faites? A finir à la tête d’une énorme société connue mondialement? A être dans tous les journaux pour sa « course de l’espoir »? Peut-être que c’était son destin de réaliser tout ça, comme sa mère le disait. Ou peut-être était-ce juste un concours de circonstances, qu’il s’est juste laissé porter par la brise. Il tend à penser que c’était un peu des deux, lorsqu’il dit au revoir à sa douce Jenni.
Jenni, sa meilleure amie d’enfance dont il est amoureux depuis le début représente son opposé: lui, sot mais bon, n’aspire à rien d’autre que de faire de son mieux. Et de grandes choses lui arrivent.
Jenni, elle, veut toujours mieux que ce qu’elle a, et se perdra dans ses ambitions démesurées.
On sent qu’une morale divine tisse le fil de ce film: au final, nul besoin d’avoir tous les moyens du monde pour avoir une bonne vie, il suffit d’être bon, d’avoir des principes, de tenir ses promesses, et les bonnes choses viendront à nous.
Une petite plume, qui est la paix, mais aussi la légèreté, se laisse porter par le vent du début à la fin de l’histoire comme son héros. Et Forrest Gump se termine par cette belle allégorie.

3) Billy Eliott

Le jeune Billy vit avec son père, qui travaille dans les mines, son grand frère, et sa grand mère. Sa mère décédée récemment lui manque beaucoup. Comme pour Forrest Gump, on vit un évènement historique réel dans le film: la grève des mineurs britanniques de 1984-1985 qui s’opposaient à Tatcher. Tout le monde n’est obsédé que par ça, et les modestes revenus de son père servent à financer ses cours de boxe. Mais voilà: Billy se découvre une autre vocation, la danse, et son père n’est pas près du tout à investir son argent dans cette discipline qu’il juge trop féminine. Billy se fait chambrer, tout le pousse à renoncer à sa passion hormis cette prof de danse qui croit en lui. Pourtant il en est sûr : sa mère aurait été d’accord.

Un film qui fait chaud au coeur, et qui comme Eddie the Eagle, pousse à croire que quand on désire réellement quelque chose, même avec le monde entier contre soi et presque personne qui ne croit en nous, on peut y parvenir avec persévérance.
Le fait de voir tout le monde nous dire « tu fonces dans le mur », pousse davantage encore à leur prouver qu’ils ont tord.

4) Rasta Rockett

Derice et Sanka sont deux meilleurs amis vivant en Jamaïque. Derice a un rêve: celui de gagner les Jeux Olympiques dans la catégorie sprinter. Mais voilà: lors de la course qui va définir si il sera pris pour participer aux J.O, ce qui était pour lui une évidence vu ses scores incroyables dû à son entraînement acharné, le sprinter d’à côté de lui trébuche, et entraine les deux concurrents à sa gauche et sa droite dans sa chute. Les trois jeunes hommes ne sont donc pas pris.
Mais Derice n’abandonne pas les J.O, il veut faire honneur à son père qui était comme lui un grand sportif: il retrouve son entraineur d’il y a vingt ans, et lui demande de l’entrainer dans une catégorie tout du moins insolite vu leur pays d’origine: le bobsleigh, qui se pratique dans la neige… Tout le monde rit au nez de l’équipe composée de Derice, Sanka et les deux sprinters déchus, mais les quatre jeunes hommes et leur nouvel entraineur n’ont pas dit leur dernier mot.

Une intrigue qui n’est pas sans rappeler celle d’Eddie the Eagle ! Comme Eddie, Derice participera au J.O peu importe la catégorie. Il sera la fierté de la Jamaïque, qui n’est pas du tout prise au sérieux dans cette compétition, et imposera son pays dans cette discipline. Il sera donc un peu un pionnier puisque grâce à son équipe, la Jamaïque pourra tous les ans participer en tant qu’égaux aux autres pays dans les concours de bobsleigh.

5) La vie rêvée de Walter Mitty

Walter Mitty est un simple employé de l’entreprise « Life », qui n’a pas beaucoup de succès avec les femmes et est un peu moqué par ses collègues pour ses absences répétitives. En vérité, pendant ces moments où Walter déconnecte, il vit des rêves intenses dans lesquels il est un héros qui vit une vie pleine d’adrénaline.
Un jour, son quotidien d’employé au service des archives se retrouve bousculé par le rachat de sa boite. Il se doit de fournir le négatif numéro 25 pour sortir la dernière édition du magazine « Life » au nouveau patron tyrannique qui prévoit d’arrêter la revue après, mais Walter ne parvient pas à la trouver.
Il se lance alors dans une épopée à la recherche de cette mystérieuse photo qui est décrite par son photographe comme « la quintessence de Life », et finit par vivre ces merveilleuses aventures dans la vraie vie…

Le message de ce film est en fait assez simple: toutes les personnes qui préfèrent rêver leur vivre doivent finir par trouver la force de vivre leurs rêves.

Ecrit par Mandi Heshmati

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