Culture
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Ásgeir : le phénomène électro-folk islandais en concert au Bus-Palladium pour le Paris in Live

Ásgeir : le phénomène électro-folk islandais en concert au Bus-Palladium pour le Paris in Live

Ásgeir, la révélation électro-folk venue d'Islande sera en showcase privé à Paris au Bus Palladium pour la soirée Paris in Live organisée par Virgin Radio

L’Islande est un si petit pays, une île presque vide, sombre et peu peuplée : pourtant elle a accouché de génies de la musique comme Björk, Sigùr Ros ou encore Of Monsters and Men. L’île froide n’a pas finit de nous apprendre la beauté de sa solitude : Ásgeir est la révélation electro folk de l’année.

Il sera en showcase privé le lundi 2 juin à 20h00 au Bus Palladium dans le cadre de la soirée Paris in Live organisée par Virgin Radio où sont entre autres passés Franz Ferdinand, Phoenix, Capital Cities, James Blunt, London Grammar ou encore One Republic . Les plus chanceux peuvent tenter leur chance pour gagner des places pour le concert en écoutant Virgin Radio.

Ásgeir, un islandais timide obligé de côtoyer la foule pour prêcher sa belle parole

Après un premier album en islandais (Dýrð í dauðaþögn), le chanteur qui était initialement féru de lancer de javelot a finit par adapter son univers en Anglais. Avec le titre Going Home il passe sur toutes les radios du monde et le succès démarre. Le single suivant, King and Cross rencontre autant de succès.

Son île solitaire, il doit la quitter, non sans regrets, pour nous compter ses origines dans des chansons toutes plus enchanteresses les unes que les autres.

Un peu de silence dans la voix

C’est justement ce qui fait la force d’Ásgeir : il n’est pas parti parcourir le monde seul, il a emporté un peu de son Islande avec lui et ses morceaux projettent des images de ce bout du monde en apparence hostile mais qui apparaît ici comme profondément paisible.

C’est notamment pour ça que Ásgeir a choisi d’appeler son album anglophone : In The Silence. Comme il l’expliquait dans une interview accordée aux Inrocks : Je viens vraiment de l’isolement, de la désolation… Il n’y avait rien à faire et beaucoup de silence.

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