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Safe Campus lutte contre les violences sexistes dans les universités

Safe Campus lutte contre les violences sexistes dans les universités

Safe Campus: la nouvelle plateforme qui lutte contre les violences sexistes dans les universités. On vous en dit plus.

Safe Campus lutte contre les violences sexistes dans les universités. MCE TV vous en dit plus.

Safe Campus ? Vous n’en avez pas encore entendu parler ? C’est normal. Safe Campus est une nouvelle plateforme qui lutte contre les violences sexistes dans les universités. Mais pas que ! Elle a aussi pour but de lutter contre l’homophobie ou encore le racisme.

D’ailleurs, c’est étonnant que ça n’ai pas vu le jour avant ! Pourtant les violences sexistes et sexuelles existent depuis la nuit des temps. Et encore plus dans les milieux étudiants. D’ailleurs 1 étudiante sur 3 déclare avoir été victime de violence dans le cadre de la vie universitaire. Ce qui n’est pas normal !

Mais heureusement, Marine Dupriez et l’association En avant toutes ont trouvé la solution. C’est d’ailleurs ainsi que la plateforme a vu le jour ! On vous en dit plus sur cette plateforme.

Safe Campus lutte contre les violences sexistes dans les universités

Safe Campus : qu’est ce que c’est ?

L’histoire commence en janvier dernier. Dans une lettre ouverte appelée « Nous aussi », plus de 500 anciens étudiants se mobilisent et accusent les grandes écoles de sexismes, d’homophobie et de racisme. Parmi eux, Marine Dupriez, 27 ans, diplômée de l’EDHEC. Engagée auprès de l’association En avant toute, l’étudiante lance la plateforme Safe Campus fin 2019.

La jeune femme propose ainsi des solutions aux grandes écoles afin de les aider à combattre les violences sexistes et sexuelles. Comment ça marche ? Il repose sur trois axes : la sensibilisation des étudiant.es, la formation des encadrant.es et la communication sur le campus. » explique-t-elle aux Echos. Pour elle, il suffit « de pas grande chose pour éviter des situations qui peuvent marquer à vie. » 

La fondatrice de Safe Campus explique d’ailleurs que « aider une victime à se dire que ce n’est pas elle, la coupable, c’est déjà énorme ! » Avant de continuer: « j’ai trouvé cela fou que personne ne s’occupe de ces problématiques dans le milieu étudiant. » En effet, quand on y pense, c’est fou ! Espérons que cela va changer ! Affaire à suivre.

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