C’est le pire cauchemar de tous les lycéens. Mais ce jeune homme l’a bien cherché. En effet, au Texas, un père de famille a utilisé la manière forte pour que son fils suive correctement les cours au lycée… Le jeune homme de 17 ans, Brad, avait pour habitude de chahuter en classe et de ne pas suivre les leçons et les recommandations de son professeur. Du coup, son père a décidé d’assister aux cours avec lui, sur les bancs du lycée.
C’est après avoir reçu de nombreuses plaintes de la part du corps professoral du lycée que le père de famille a pris cette initiative. Alors que le professeur de physique-chimie se plaignait de son comportement dissipé, le père de famille a pris les choses en main. Il a commencé par une simple menace. Si son comportement ne s’améliorait pas, il irait avec son fils au lycée. Mais celui-ci n’a pas pris cette mesure au pied de la lettre et a continué.
Le père de famille se pointe dans la salle de classe du lycée
Perdu, le père de famille a mis sa menace à exécution et s’est pointé sur les bancs du lycée aux côtés de son fils. Celui-ci en a même profité pour lancer une photo de la scène sur internet. Ce qui n’a pas manqué d’amuser ses camarades, mais aussi les internautes. Mais pas sûr que le jeune homme ait apprécié la décision de son père lorsqu’on regarde sa tête sur le cliché. Malgré tout, il semble qu’il ait fini par en rire et retenir la leçon.
Pour mettre sa punition à exécution le père de famille a dû poser une journée de congé un vendredi. Si au début, il trouvait dommage de gâcher des congés, il explique malgré tout que cette décision a été bénéfique. Sur le site Buzzfeed US, il assure pourtant ne pas reproduire une nouvelle fois son geste. « J’espère ne jamais avoir besoin de le refaire. Je ne pense pas que je le referai », explique le père de famille.
Une décision qui a bien fait rigoler
Une chose est certaine, sa présence au lycée a interpellé les autres camarades de son fils. Mais le professeur de Physique Chimie était lui content de la décision du père. Celui-ci a pu canaliser son fils l’espace d’un instant.
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