La ministre de l'Enseignement Supérieur, Frédérique Vidal, a ouvert une ligne téléphonique pour que les étudiants y posent toutes leurs questions.
C’est au tour des étudiants de retrouver les bancs des amphis, avec beaucoup de questions pour cette nouvelle année. Prérequis, changement de la plateforme APB, sélection dans certaines filières… Les débats sont nombreux et l’avenir de l’université est encore plus flou d’année en année. C’est donc la ministre de l’enseignement supérieur Frédérique Vidal qui est au coeur des interrogation. Mais pour être la plus transparente possible, cette dernière a mis en place un répondeur.
Un répondeur pour poser les question à Frédérique Vidal
Ce répondeur, c’est en fait une ligne téléphonique afin de joindre le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Ne vous attendez tout de même pas à entendre la voix de Frédérique Vidal de l’autre côté de la ligne. En effet, le répondeur permet de contacter le ministère afin de poser des questions, et dans l’idéal obtenir les réponses. Pour pouvoir joindre ce répondeur, appelez tout de suite le +33 1 76 44 07 97.
Frédérique Vidal s’est engagée sur plusieurs points avant la Rentrée 2018, notamment, la fin très attendu d’APB. La plateforme ne disparaîtra pas totalement, mais cette dernière va changer de nom et de forme. Malgré tout, il est encore trop tôt pour savoir ce nouvel aspect et cette nouvelle manière de fonctionner. Un manque d’information qui peut être angoissant pour les bacheliers désireux de choisir le chemin le plus simple et le plus court pour leurs années à venir dans les études supérieures. Malgré tout, la ministre dévoile quelques pistes.
Des questions sur la plateforme APB changeante ?
En effet, un autre débat qui secoue le monde de l’université reste la sélection, ou du moins, les prérequis. Ces prérequis serait une sorte de norme que les étudiants devraient obtenir pour demander l’inscription dans certaines filières dites en tension. Un moyen qui limiterait la pratique du tirage au sort en Staps ou en médecine, mais qui ne résoudrait pas fondamentalement le problème de place en université. Tant de questions auxquelles Madame Vidal à écouter sur ce répondeur.
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