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Campus: Les écoles de commerce s’engagent pour l’égalité hommes-femmes !

Le plus souvent, les écoles de commerce se font accusées de sexisme. Mais aujourd’hui, à l’occasion de la journée pour les droits des femmes, les écoles de commerces mettent en place des programmes contre les inégalités du sexe !

En effet, les écoles de commerces sont souvent accusées, à tort ou à raison de sexisme.

Voilà pourquoi, à l’occasion de la journée de la femme, les écoles de commerce proposent de plus en plus des programmes pour lutter face aux inégalités entre les sexes.

Le sexisme est-il bien présent au sein des écoles de commerce ?

Tout d’abord, il faut bel et bien rappeler toutes les accusations faites aux écoles de commerce. Lorsque l’on crie au sexisme, cela passe rarement inaperçu et tant mieux !

Par exemple, il y avait cette étudiante de l’ESCP qui a rédigé la tribune: “En école, nous sommes tous des Harvey Weinstein”.

Cette dernière avait énormément fait parler du phénomène grâce à un blog où elle dénonçait un “sexisme insidieux”.

On retrouvait ce sexisme au sein des recrutements associatifs ou bien la communication des associations ! Et même au sein des soirée étudiantes !

Si en France, on interdit complètement le sexisme de quelques façons qu’elle soit, on accuse malheureusement des écoles qui voudraient fermer les yeux face au phénomène.

Quels sont les programmes proposées par les écoles de commerce ?

Apparement, les écoles de commerces françaises essaient en ce moment-même de se rattraper…

Par exemple, au sein des business schools, on tente de changer les choses. Delphine Manceau témoigne alors:

“Dans les cours de management et de gestion des ressources humaines, nous les sensibilisons aux stéréotypes qui peuvent exister dans le monde de l’entreprise, par exemple, sur le sujet des différences salariales. Il est important que les femmes comme les hommes soient conscients qu’ils seront bientôt concernés, en entreprise, par ces sujets. Nous avons un rôle central à jouer pour que cela évolue” raconte la directrice générale de Neoma business school.

D’autre part, l’Essec aussi tente de faire sa part des choses ! L’école de commerce propose en effet un cours de 25h entièrement en anglais: “Genres économie et politique”.

Enfin, il ne reste plus qu’à savoir si ces dispositifs changent oui ou non, quelque chose au sein des campus universitaires !

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