La ministre de l'Insertion, Brigitte Klinkert, impressionnée. Sur le campus de l'école de la deuxième chance, elle applaudit son succès !
L’école de la deuxième chance, ça fonctionne ! La ministre de l’Insertion, Brigitte Klinkert, a visité l’un des quatre campus de l’E2C… Et elle s’étonne elle même de la formidable réussite de cette initiative. MCETV vous en dit plus sur cette formation pour les jeunes sans diplôme, qui souhaitent de trouver une formation ou un emploi.
L’école de la deuxième chance, vraiment
Car l’initiative change des vie. Il en existe à Paris, mais elle vient du Var. Brigitte Klinkert, ministre de l’Insertion, a donc fait un détour par le Sud pour aller visiter les installations à l’est de Toulon. Car il en existe quatre disséminés dans le sud : à Brignoles, Fréjus, Draguignan et La Garde, dans le département du Var.
C’est donc sur le campus de Toulon que la ministre a pu constater la réussite de l’école de la deuxième chance. L’EDC se targue en effet de la réinsertion de 78% des jeunes passés entre ses mains. En tout, elle entretient ainsi des contacts avec 600 entreprises pour trouver un avenir à des jeunes dans le dur.
L’école ne s’adresse en effet qu’à des élèves sans diplômes. Elle leur donne ainsi une « deuxième chance », et l’espoir de se réinsérer avec une formation en alternance, et personnalisée. La seule demande des créateurs : « avoir une motivation sans limite« . Ensuite, la formation et les entreprises font le reste !
Sur le campus toulonnais, Brigitte Klinkert a donc eu l’occasion de constater la réussite de l’école. Et aussi de donner son avis sur les perspectives offertes par l’E2C. La chambre de commerce et d’industrie du Var se félicite ainsi de l’accueil de la ministre, qui n’a pas boudé son plaisir devant les statistiques affichées sur le campus.
« J’emporte à Paris avec moi ce projet porté par le monde économique, assume ainsi la ministre. Les résultats sont impressionnants. » Des félicitations sincères, et qui donnent d’autres perspectives aux jeunes. Cela pourrait ainsi permettre de donner un coup de main à ceux qui ne trouvent pas leur place à l’école.
La ministre convaincue par le campus de Toulon
Une E2C existe d’ailleurs à Paris. Mais Brigitte Klinkert rappelle tout de même que tous les modèles ne peuvent pas se comparer dans des villes différentes. « Si tout n’est pas transposable de la même façon partout compte tenu des spécificités locales, je m’engage à faire savoir ce modèle varois. »
Un bel hommage pour l’école de la deuxième chance, sur son propre campus… Et la ministre espère que la réussite continue pour cette E2C varoise. « Croyez en vous, nous croyons en vous, ayez des rêves et vous arriverez à les réaliser. » De quoi motiver d’autres jeunes à aller chercher leur deuxième chance dans le Var…
Avec 78% de stagiaires qui signent un contrat longue durée, il s’agit en effet d’une vraie performance pour des jeunes qui n’ont aucun diplôme. Mais la volonté et l’aide d’une école et d’une entreprise changent la donne…
Avec de la motivation et un campus accueillant, il y a de quoi se remettre en selle. Avec « 1,8 million emplois de jeunes et 525 000 contrats d’apprentissage signés », la ministre peut en effet féliciter l’E2C !
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