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APB: quelles solutions pour les bacheliers sans affectation ?

APB: quelles solutions pour les bacheliers sans affectation ?

APB a laissé sur le carreaux près de 87 000 étudiants lors de la troisième session d'admission. Si bien que les alternatives commencent à arriver.

Ils sont 87 000 bacheliers à être en attente de savoir ce qu’il feront l’année prochaine. Mais n’y voyait pas les étudiants ayant eu leur diplôme au rattrapage. En effet, même des mentions TB se retrouvent encore le bec dans l’eau. Mais si cette afflux massif d’inscrits est la cause de cette surcharge dans les universités, le service public pourrait en pâtir. En effet, ils sont peu nombreux à vouloir prendre une année sabbatique avant d’intégrer le cursus de leur choix. Du coup, il existe des solutions alternatives. Ces solutions, MCE, vous les détaillent.

APB pourrait envoyer plus de monde dans les écoles privées

Les écoles privées seraient les premières à bénéficier de cette saturation de la plateforme APB. En effet, ces écoles sont hors de la procédure. Si elles indiquent être sélectives, ces dernières ont surtout une envie de recrutement importante. Et cela pourrait être la solution alternative aux étudiants sans affectation. Mais attention ! En effet, ces établissements ont un coût. Ces dernières dispensent en effet des enseignements moyennant un chèque annuel pour dépasser certaines fois plus de 4 000 euros.

L’avantage reste avant tout la possibilité de formation professionnelle. En effet, l’université est souvent pointée du doigt pour ne pas être à l’écoute des attentes des entreprises. Une école de ce type permet dans un certain degrés, d’effectuer une année en alternance. Un moyen pour se former, mais aussi pour financer ses études. De plus, les écoles privées facilitent, de manière plus importante, l’accès au stage.

Une année d’études à l’étranger

La sélection à l’université n’est certes pas un barrage à l’accès aux études, mais le tirage au sort rend incertaine la poursuite… Du coup, certains prennent leurs dispositions et choisissent une alternative enrichissante, celle des études à l’étranger. Partir pour une année ou même trois à l’étranger dans le but de poursuivre ses études est de plus en plus une orientation courante.

Actuellement, Erasmus rassemble de plus en plus de monde. Mais pour profiter des avantages de ce dispositif, il faut être à l’université. Certains, n’hésitent donc pas à demander des inscriptions dans les universités en même temps que leurs demandes sur APB. Le Figaro Etudiant explique même que faire ses études à Cambridge ou Oxford est devenu plus simple qu’une université en France. Cependant, il faut avoir un bon portefeuille pour s’expatrier, notamment de l’autre côté de la Manche.

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