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Devant l’évolution du projet de loi NOTRE, la CDEFI rappelle le positionnement national et international de ses établissements

CDEFI : ses membres appelés à élire un nouveau bureau

la CDEFI tient à rappeler un certain nombre de principes qui découlent de la loi du 22 juillet 2013 et du fonctionnement des établissements

Examinant le projet de loi « Nouvelle organisation territoriale de la République » (NOTRE), le sénat a adopté le 19 janvier deux amendements visant à renforcer les compétences de la région dans le champ de l’Enseignement supérieur et de la recherche.Les écoles d’ingénieurs se positionnent à un niveau national et international, tant concernant le recrutement des étudiants, des enseignants-chercheurs, que pour les débouchés professionnels, les relations industrielles et les collaborations de recherche. C’est la raison pour laquelle beaucoup d’entre elles sont regroupées en réseaux nationaux et internationaux.
La loi du 22 juillet 2013 répond précisément à la nécessité actuelle de situer l’enseignement supérieur et la recherche à cet échelon national et international. C’est l’une des raisons d’être des regroupements et la loi doit être appliquée dans ce sens. Que les regroupements soient de taille régionale n’implique pas que leur offre de formation soit déterminée par les besoins de la région. Les regroupements ont d’abord vocation à permettre une meilleure coordination nationale de l’offre de formation et une meilleure visibilité internationale.
Par conséquent, nous souhaitons réaffirmer que l’approbation de la carte des formations de niveau master et doctorat est une prérogative exclusive de l’Etat et doit le rester tout en s’appuyant sur des recommandations des régions, notamment sur les aspects qui pourraient la concerner, comme les arbitrages liés à aux financements de formations par apprentissage ou la cohérence avec les SRESRI.

Communiqué

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