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Groupe IONIS : l'abordage asiatique

Le groupe IONIS vient de ratifier plusieurs accords pour implanter des antennes de ses écoles en Chine. On vous en apprend un peu plus

1er groupe français du supérieur privé, il possède notamment l’Epitech, l’Epita, le réseau d’ESC Post-bac ISEG mais également l’Institut Polytechnique des Sciences Avancées, Sup’Internet ou encore E-Artsup.

Leader-né, le groupe ne se contentera pas des très nombreuses antennes de ses écoles présentes sur le territoire national. En plus de posséder 250 accords mondiaux avec des établissements du supérieur de renom, IONIS en a signé de nouveaux en Asie avec la Chine, partenaire économique de premier plan.

S’offrir l’Empire du Milieu

Ces partenariats concernent l’Epitech et la Beijing Jiaotang University mais aussi l’ESME et la Beijing Institute of Petrochemical Technology, ainsi que l’ouverture prochaine d’un MSc franco-chinois, fruit d’un rapprochement entre l’ESME Sudria et la Beijing University of Posts and Telecommunications.

Avec à la clef un intérêt évident pour les élèves des deux nationalités : il y aura possibilité pour eux de passer une partie de leur cursus dans les locaux chinois comme français mais également de muscler la transversalité des programmes de recherche de chacun des établissements concernés.

Voir les choses en grand

Une vague de relations nouvelles et d’implantations hors des frontières qui s’inscrit dans la petite révolution qui semble bien en train de se faire au sein du groupe. Ce dernier prévoit en effet l’ouverture d’un campus à la gloire du numérique de 10 000 m2 en plein cœur de Paris
et doté d’un incubateur.

Non pas que la situation relativement périphérique de ses écoles d’informatique, situées pour l’heure au Kremlin-Bicêtre, dénote quelque peu avec l’image de marque toujours plus hégémonique du groupe (hem).

Mais ce n’est pas tout : un éventail de bourses et de parcours d’égalité des chances a été dévoilé ces derniers temps, appuyé par le tout nouveau fonds de dotation spécial du groupe, qui sera capitalisé à hauteur de 2 à 3 millions d’euros.

Et comme chez IONIS on a de la suite dans les idées, de nouveaux projets de campus internationaux sont déjà dans les tuyaux : les premières hypothèses désignent notamment les mythique villes américaines de San Francisco et de San Diego et d’autres pays comme l’Angleterre ou l’Espagne.

T.C.

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