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Ministère de l'Education Nationale : plaquette officielle du Baccalauréat 2013

Dossier de presse de présentation du Baccalauréat 2013 transmis par le Ministère de l’Education Nationale à la veille de l’examen. Morceaux choisis

Le ministère de l’éducation nationale met en œuvre un ensemble de dispositifs pour permettre aux candidats en situation de handicap de bénéficier d’aménagement ou d’adaptation d’épreuves, afin de leur garantir l’égalité de traitement avec les autres candidats

Comme l’a souhaité le ministre de l’éducation nationale, Vincent Peillon, le temps d’épreuve maximum est fixé à 8 heures par jour pour les candidats bénéficiant d’un tiers-temps supplémentaire pour les seules séries ES et STG, à compter de la session 2013. Les candidats concernés pourront suivre le calendrier initial ou bien reporter une des épreuves d’une très longue journée à un autre jour (samedi 22 juin dans la majorité des cas).

Pour la session 2013, plus de 20 000 candidats sont concernés par ces dispositions spécifiques, parmi lesquelles :

– un temps d’épreuve majoré jusqu’à un tiers de temps supplémentaire 1 ;
– l’assistance d’un(e) secrétaire, qui écrira sous leur dictée, pour les candidats qui ne peuvent pas écrire à la main, ni utiliser leur propre matériel (ordinateur, etc.) ou qui ne peuvent pas s’exprimer par écrit d’une manière autonome ;
– une possibilité de dispense ou d’aménagement des épreuves obligatoires de langue vivante soit de la « partie orale » des épreuves obligatoires de langue vivante 1 et 2 ; soit de la « partie écrite » des épreuves obligatoires de langue vivante 1 et 2 ; soit de la totalité des épreuves de langue vivante 2 ;
– pour le cas des candidats souffrant de troubles du langage ou de troubles auditifs, un aménagement de l’épreuve orale leur offrant la possibilité d’utiliser un support écrit pour communiquer avec l’examinateur (avec l’interface d’un micro-ordinateur), sans modifier la nature orale de l’épreuve ;
– un aménagement de l’épreuve d’histoire-géographie au baccalauréat général des séries ES, L et S, ainsi qu’au baccalauréat technologique des séries STG et ST2S, pour les candidats reconnus handicapés visuels ou handicapés moteurs ;
– un contrôle adapté pour l’épreuve d’éducation physique et sportive ;
– pour les candidats non-voyants ou malvoyants, une composition sur des sujets transcrits en braille ou en gros caractères avec un fort contraste ;
– un étalement des épreuves sur plusieurs sessions.

De plus, les candidats concernés peuvent demander la conservation pendant cinq ans des notes de leur choix obtenues à l’examen (quelle que soit leur valeur). Par ailleurs, les autorités académiques peuvent ouvrir des centres d’examen adaptés si certains élèves, accueillis dans des établissements hospitaliers pour des séjours de longue durée ou recevant des soins en liaison avec ces établissements, ne peuvent aller composer dans des centres ouverts dans les établissements scolaires.

Pour bénéficier de ces mesures, les candidats doivent adresser une demande à l’un des médecins désignés à cet effet par la commission départementale des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH). Au vu de la situation particulière du candidat, le médecin rend un avis sur lequel s’appuie le rectorat pour décider des aménagements ou des adaptations d’épreuves. L’avis du médecin ne préjuge pas de la décision du recteur.

Des épreuves aménagées pour les candidats en situation de handicap

Ces candidats bénéficient d’un temps de repas et de récupération entre les épreuves qui ne doit pas être inférieur à une heure. Ceux qui sont installés dans une salle particulière peuvent, s’ils le souhaitent, déjeuner sur place.
Passer le bac à l’étranger

Lors de la session 2013, le baccalauréat général et technologique est organisé à l’étranger dans 87 pays, pour 15 727 candidats. Les épreuves du baccalauréat se déroulent dans environ 140 centres d’examen ouverts dans les établissements de l’agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) et de la mission laïque française.

Les candidats au baccalauréat se répartissent généralement de la manière suivante :

– 40 % sont de nationalité française ;
– 50 % sont de la nationalité du pays d’accueil ;
– 10 % d’une autre nationalité.

Les pays étrangers concernés se répartissent en 2 groupes :

– le groupe 1 rassemble 56 pays qui composent selon un même calendrier (pays européens, pays d’Afrique, du Proche et Moyen Orient, Madagascar et l’Île Maurice), fixé par la direction générale de l’enseignement scolaire (Dgesco) du ministère de l’éducation nationale
– le groupe 2 se compose de Pondichery, de l’Amérique du Nord, du Liban, de l’Asie, de l’Amérique centrale et de l’Amérique du Sud. Les candidats composent selon des calendriers élaborés conjointement entre les pays concernés et leurs académies de rattachement (qui assurent la gestion de l’examen par envoi des sujets, l’inscription des candidats, l’édition des diplômes, le suivi de la session), compte tenu de leurs années scolaires spécifiques.

Les calendriers des sessions 2013 à l’étranger s’échelonnent d’avril à novembre.

Pays étrangers du groupe 1 : du 10 au 14 juin 2013

Pondichery : du 11 au 16 avril 2013 Liban : du 27 au 30 mai 2013
Amérique du Nord : du 28 mai au 5 juin 2013 Asie : du 17 au 21 juin 2013
Amérique du sud : du 18 au 27 novembre 2013

Accroître la dimension internationale du baccalauréat

Le baccalauréat, c’est aussi une large ouverture à l’international, notamment à travers :

– l’option internationale du baccalauréat (OIB) ;
– les sections européennes ou de langue orientale (SELO) ;
– l’Abibac, le Bachibac et l’Esabac ;
– le baccalauréat franco-américain ;
– le baccalauréat franco-allemand.

Les candidats scolarisés en section internationale (séries générales uniquement) peuvent se présenter à un examen spécifique. Dans ce cas, les épreuves de LV1 et d’une discipline non linguistique sont remplacées ou complétées par des épreuves spécifiques avec des coefficients particuliers. Ces épreuves portent sur des enseignements propres aux sections internationales : l’histoire-géographie est enseignée dans la langue de la section (seule exception : les mathématiques pour le chinois).

Les candidats se voient délivrer le diplôme du baccalauréat avec l’indication « option internationale » suivie de la langue de leur section. Il existe 15 types de sections internationales : allemand, américain, anglais (britannique), arabe, chinois, danois, espagnol, italien, japonais, néerlandais, norvégien, polonais, portugais, russe et suédois.

À la rentrée 2012, les sections internationales regroupaient 2 300 élèves

Les sections européennes ou de langue orientale (SELO)

Les élèves scolarisés en section européenne ou de langue orientale en séries générales, technologiques ou professionnelles peuvent se présenter à une épreuve spécifique leur permettant d’obtenir sur leur diplôme du baccalauréat l’indication « section européenne ou de langue orientale » suivie de la langue de leur section. De plus, en séries générales ou technologiques, le candidat peut choisir de voir sa note à l’épreuve spécifique prise en compte au titre d’une épreuve facultative.

Les sections européennes et de langue orientale existent en 11 langues : allemand, anglais, arabe, chinois, espagnol, italien, japonais, néerlandais, portugais, russe, vietnamien. À la rentrée 2012, ces sections scolarisaient plus de 40 000 élèves en classes terminales des séries générales et technologiques.

L’Abibac, le Bachibac et l’Esabac

Les candidats scolarisés en section binationale (séries générales pour le moment) peuvent se présenter à un examen spécifique. Dans ce cas, les épreuves de LV1 et d’une discipline non linguistique sont rem- placées par des épreuves particulières, sans changement de coefficient. Ces épreuves portent sur des enseignements propres aux sections binationales. Ces épreuves sont obligatoirement passées dans la langue de la section. L’histoire-géographie est enseignée dans la langue de la section.

Les sections binationales existent en partenariat avec trois pays :

– l’Allemagne : délivrance simultanée du baccalauréat et de la Allgemeine Hochschulreife (Abitur)
– l’Espagne : délivrance simultanée du baccalauréat et du Bachillerato (2ème session en 2013)
– l’Italie : délivrance simultanée du baccalauréat et de l’Esame di Stato (3ème session en 2013)

Effectif de candidats pour la session 2013 :

– Abibac : 1 235 candidats ;
– Bachibac : 339 candidats ;
– Esabac : 447 candidats.

Dans chacun de ces trois pays, des élèves étrangers sont scolarisés dans des cursus binationaux construits sur le même modèle que les sections binationales françaises. Ces élèves étrangers se verront également délivrer le baccalauréat français, en plus de leur diplôme national.

Le baccalauréat franco-américain

Le baccalauréat franco-américain est un baccalauréat français qui permet de voir certaines notes reconnues en vue d’une entrée dans les universités américaines. Il est uniquement préparé dans certains lycées français qui sont situés sur le territoire des États-Unis d’Amérique, grâce à un partenariat local. Certaines épreuves sont remplacées par des épreuves assurées par l’organisme éducatif partenaire aux États-Unis.

Le baccalauréat franco-allemand

Le baccalauréat franco-allemand est un diplôme de fin d’études secondaires, distinct du baccalauréat français. Il repose sur des programmes, une organisation et des modalités d’évaluation particulières. Il donne tous les droits attachés au baccalauréat français et à lAbitur allemand. Il est préparé en France dans un seul établissement, le lycée de Buc (Yvelines) et en Allemagne dans deux établissements (Sarrebruck et Fribourg).

Garantir la confidentialité des sujets

La confection et la distribution des sujets sont soumises à un ensemble de règles qui visent à garantir la confidentialité à toutes les étapes. La direction générale de l’enseignement scolaire (Dgesco) du ministère de l’éducation nationale répartit entre les académies les sujets à élaborer pour la session de l’année suivante. La répartition retenue est confidentielle.

Les personnels administratifs intervenant, à quelque niveau de responsabilité que ce soit, dans l’élaboration et l’envoi des sujets signent une déclaration sur l’honneur, par laquelle ils attestent avoir pris connaissance de la charte de déontologie des examens et s’engagent à en respecter les termes. Pour des raisons de sécurité, le nombre des membres de chaque commission d’élaboration des sujets est limité au minimum et n’excède pas dix personnes, sauf impossibilité avérée. La composition des commissions est secrète afin qu’aucun participant à l’élaboration des sujets ne puisse être mis en cause publiquement, ni personnellement, ni ès qualités. Les travaux des commissions sont, quant à eux, strictement confidentiels.

Les académies conceptrices envoient les sujets retenus aux académies destinataires de façon dématérialisée via un réseau virtuel hautement sécurisé, propre à l’éducation nationale. Ce système de transmission, qui n’utilise pas internet, permet d’identifier précisément l’expéditeur et le destinataire de chaque envoi et d’en conserver la trace. L’impression et la mise sous pli des sujets sont soumises à des règles strictes qui visent à garantir la sécurité des opérations (accès aux locaux et dispositif de suivi pour éviter toute perte de sujets). Des travaux de sécurisation des locaux académiques ont ainsi été menés depuis 2012 pour assurer cette sécurité.

Les sujets font ensuite l’objet d’un double conditionnement présentant toutes les garanties de solidité et de fiabilité, pour être livrés aux centres d’examen. Leur diffusion auprès de ces derniers intervient le plus près possible dans le temps des épreuves concernées. Une fois réceptionnés dans les centres, les sujets sont conservés dans un endroit sécurisé (coffre, armoire forte ou pièce fermant à clé) auquel seuls le chef de centre et l’un de ses adjoints ont accès. Les enveloppes contenant les sujets sont ouvertes juste avant l’épreuve concernée, en présence des candidats.

Etre réactif en cas d’incident : la procédure de veille et d’alerte

La direction générale de l’enseignement scolaire (Dgesco) du ministère de l’éducation nationale met en place un dispositif de veille et d’alerte à l’occasion des épreuves écrites des baccalauréats général, technologique et professionnel qui se déroulent à l’étranger, en métropole et dans les départements et collectivités d’outre-mer. Ce dispositif vise à permettre une gestion optimale des incidents qui pourraient se produire, grâce à une circulation des informations la plus rapide possible des centres d’examen aux services académiques concernés, puis à la Dgesco.

Ainsi, cette cellule de veille et d’alerte nationale mobilise les personnels de la Dgesco en charge du diplôme et du pilotage des examens, et des inspecteurs généraux de l’éducation nationale qui pourront traiter d’éventuels incidents dans les meilleurs délais. Les services des examens et concours de chaque académie sont, eux aussi, mobilisés pour répondre aux diverses sollicitations émanant des centres d’examen.

Les calendriers

Session normale

Épreuves écrites du 1er groupe Métropole : 17, 18, 19, 20 et 21 juin 2013
Départements d’outre-mer Guadeloupe-Guyane-Martinique : 13, 14, 15, 17, 18, 20 et 21 juin 2013
La Réunion-Mayotte : 17, 18, 19, 20 et 21 juin 2013
Collectivités d’outre-mer Polynésie française Baccalauréat général : 3, 4, 5, 6, 7 et 10 juin 2013
Baccalauréat technologique : 3, 4, 5, 6, 7 et 10 juin 2013
Saint-Pierre-et-Miquelon Baccalauréat général : 28, 29, 30, 31 mai, 3, 4, 5 et 12 juin 2013
Nouvelle-Calédonie : la session a lieu en novembre-décembre.
Épreuves orales et pratiques : les dates sont fixées par les recteurs dans chaque académie.
Résultats du 1er groupe d’épreuves : les résultats du 1er groupe d’épreuves sont connus à partir du vendredi 5 juillet 2013 (métropole) pour toutes les séries.
Épreuves orales du 2e groupe (oraux de rattrapage) : organisées immédiatement après la communication des résultats du 1er groupe, elles se déroulent jusqu’au mercredi 10 juillet 2013.

Session de remplacement

Cette session est réservée aux candidats inscrits qui n’ont pu se présenter à la session normale pour des raisons dûment justifiées.
Épreuves écrites terminales : 9, 10, 11, 12 et 13 septembre 2013.
Épreuves écrites de français et de français et littérature : 11 septembre 2013.

Le choix des options : enseignement de spécialité au baccalauréat général

Un enseignement de spécialité est proposé :

– Langue vivante 1 ou 2 approfondie : série L
– Langue vivante 3 : série L
– Langues et cultures de l’Antiquité (latin, grec) : série L
– Droit et grands enjeux du monde contemporain : série L (enseignement nouveau depuis la rentrée 2012)
– Arts : série L (au choix : arts plastiques, cinéma-audiovisuel, arts du cirque, danse, histoire des arts, musique, théâtre)
– Mathématiques : séries S, ES, L
– Sciences sociales et politiques : série ES (enseignement nouveau depuis la rentrée 2012)
– Économie approfondie : série ES (enseignement nouveau depuis la rentrée 2012)
– Physique-chimie : série S – Sciences de la vie et de la Terre : série S
– Informatique et sciences du numérique : série S (enseignement nouveau depuis la rentrée 2012)
– Écologie, agronomie et territoires : série S (dans les lycées dépendant du ministère chargé de l’agriculture)
Chaque enseignement de spécialité est doté d’un coefficient spécifique.

Options facultatives, hors langues vivantes

L’élève peut choisir au maximum deux options facultatives dans toutes les séries générales ou techno- logiques :

– Langues et cultures de l’Antiquité (latin, grec) : séries générales
– Enseignements artistiques (au choix : arts plastiques, cinéma-audiovisuel, danse, histoire des arts, musique, théâtre) : toutes les séries générales et technologiques
– Éducation physique et sportive : toutes les séries générales et technologiques
Seuls comptent les points au-dessus de la moyenne. Pour la première option facultative choisie par l’élève, les points au-dessus de la moyenne sont multipliés par deux. Si ce choix porte sur une langue ancienne (latin ou grec) les points au-dessus de la moyenne sont multipliés par trois.

L’organisation du baccalauréat : les langues vivantes

Depuis la session 2013, les langues vivantes font l’objet d’une évaluation plus complète qui prend en compte les compétences orales :

– évaluation de deux langues vivantes dans l’ensemble des séries générales et technologiques ;
– évaluation systématique des compétences orales et écrites au regard du cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL).

Cette évolution se traduit notamment par de nouvelles modalités d’examen. En séries générales et technologiques (hors TMD et hôtellerie), les nouvelles épreuves de langues vivantes (LV1 et LV2) comportent désormais une évaluation orale organisée dans le cadre normal de la formation et une évaluation écrite ponctuelle terminale. La généralisation d’une deuxième langue vivante dans toutes les séries technologiques est progressive et sera achevée à la session 2017 du baccalauréat. D’ores et déjà, 85 % des élèves des séries technologiques bénéficient d’une deuxième langue vivante.

Épreuve de LV1, obligatoire pour toutes les séries Allemand, anglais, arabe, arménien, cambodgien, chinois, danois, espagnol, finnois, grec moderne, hébreu moderne, italien, japonais, néerlandais, norvégien, persan, polonais, portugais, russe, suédois, turc, vietnamien. Épreuves obligatoires de LV2 ou LV3 étrangère ou régionale, selon les séries. Les candidats peuvent faire leur choix parmi les langues vivantes proposées pour l’épreuve de LV1 obligatoire ou parmi les langues régionales suivantes : basque, breton, catalan, corse, créole, langues mélanésiennes, occitan-langue d’oc, tahitien.

Langues pouvant faire l’objet d’une épreuve facultative orale :

– langues étrangères : allemand, anglais, arabe, chinois, danois, espagnol, grec moderne, hébreu moderne, italien, japonais, néerlandais, polonais, portugais, russe ;
– langues régionales : basque, breton, catalan, corse, créole, occitan-langue d’oc, tahitien, langues mélanésiennes, gallo, langues régionales d’Alsace, langues régionales des pays mosellans ;
– depuis 2008, la langue des signes française (LSF) peut être choisie comme épreuve orale facultative de langue.

Les épreuves orales facultatives, pour les langues autres qu’allemand, anglais, espagnol et italien, ne sont organisées que dans les académies disposant d’examinateurs compétents. Toutes les séries permettent de choisir une épreuve facultative de langue vivante au baccalauréat.

Langues pouvant faire l’objet d’une épreuve facultative écrite :

Albanais, amharique, arménien, bambara, berbère, bulgare, cambodgien, coréen, croate, estonien, finnois, haoussa, hindi, hongrois, indonésien-malais, laotien, lituanien, macédonien, malgache, norvégien, persan, peul, roumain, serbe, slovaque, slovène, suédois, swahili, tamoul, tchèque, turc, vietnamien. Mesures dérogatoires applicables à certains candidats des baccalauréats général et technologique au titre de leur langue maternelle À titre dérogatoire, des candidats étrangers ou d’origine étrangère qui sont arrivés en France depuis moins de deux ans et n’y ont pas suivi un cursus scolaire complet peuvent substituer leur langue maternelle à l’une des langues réglementairement prévues. Cette mesure s’applique aux candidats du baccalauréat général et du baccalauréat technologique série STG, dans les épreuves obligatoires de LV1 et LV2 uniquement.

Communiqué

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