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A Genève, un bordel cohabite avec une résidence étudiante

Vous pensiez avoir des voisins relous ? Essayez de vous loger en Suisse, et vous pourriez bien avoir d’autres genres de problèmes de cohabitation

Laverie, service de reprographie, infrastructures sportives, salles de passes… Cherchez l’intrus parmi le type de pièces qu’on est susceptible de trouver dans les locaux d’une résidence étudiante !

Drôle de surprise pour les étudiants de la résidence universitaire des Epinettes, dans le quartier genevois des Acacias situé à proximité du stade de la ville.

Tapins nocturnes

Importunés par d’importants tapages nocturnes, les étudiants ont décidé de saisir le Bureau des Logements de l’Université de Genève qui leur a conseillé de monter une pétition.

C’est ensuite la Fondation Universitaire pour le Logement des Etudiants qui devrait avoir le dernier mot de façon à remédier à la situation.

Petit problème : c’est précisément cette dernière qui a pris la mauvaise habitude d’attribuer les surfaces de son parc locatif à toutes sortes de petits commerces, sans discrimination aucune… !

Les faits reprochés ? L’impossibilité de se reposer ou de profiter du calme ambiant pour étudier, entre 2 clients reçus par les charmantes voisines de palier !

« Le bruit et l’odeur »

Les témoignages rapportés dans L’Hebdo confient en effet avoir été gênés par des « Incessantes allées et venues d’hommes (…) Musique à fond jusqu’à 2 heures du matin le week-end, cris de jouissance d’hommes et de femmes ».

La jeune femme qui a levé le voile sur la nature de l’établissement hébergé dans le même immeuble que les logements étudiants admet avoir eu la stupéfaction de tomber nez à nez avec « une femme portant des dessous très transparents, qui me souriait. L’endroit n’avait rien d’une colocation estudiantine », raconte le journal helvète.

T.C.

Source : 20 minutes

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