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Toulouse acropole 2017 : l'Aérotram reliant l'Oncopôle à Rangeuil passera par l'UPS

La ville rose n’en finit pas de se moderniser avec l’ouverture prochaine d’une ligne de téléphérique à horizon 2017. Elle rejoindra le club fermé des métropoles mondiales en possédant un dont Singapour, New York, Londres, Barcelone, Rio ou plus près de nous Grenoble, tel que ci-contre

C’est sous la forme d’un concours qu’avait été lancé l’appel d’offre pour débaucher le cabinet d’architecte le plus à même de prendre en charge la construction de la future ligne de téléphérique toulousain, j’ai nommé l’Aérotram.

4 concurrents se sont livrés une lutte acharnée pour remporter ce contrat juteux de 44 millions d’euros, et c’est finalement le cabinet WilkinsonEyre. Architects basé à Londres qui a raflé la mise. Pour éviter toute fausse note, une période de concertation avec les riverains de l’agglomération toulousaine a même été prévue pour l’année prochaine.

Une aubaine pour les étudiants toulousains

L’intégralité du réseau devrait couvrir 2,6 kilomètres et est sensé drainer pas moins de 6 500 usagers quotidiens, à raison de chargements de 35 personne à chaque voyage. Avec des choix d’arrêts particulièrement bien pensés dans les zones desservies, à l’image de l’implantation de la future station aux abords de l’Université Paul Sabatier.

La ligne desservira en outre les arrêts « Oncopôle », un des plus grands centres européens dédié au Cancer basé dans la rue du pont saint pierre en plein centre-ville, et « Rangueuil » située dans le sud de la ville qui compte dans ses environs entre autres un célèbre CHU ainsi qu’un CIO et une bibliothèque.

En tout, la ligne comptera 3 stations et devrait être en mesure d’être parcourue d’un bout à l’autre en seulement 10 minutes de temps. En termes de fréquence de passage entre chaque navette, vous devrez compter 1m30 en pleine heure de pointe contre 6 minutes en moyenne le reste du temps.

T.C.

Source : melty

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