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Gros plan sur le Programme Vacances-Travail

Vous n’arrivez pas à vous décider entre un été de travailleur et un séjour touristique vraiment détente ? Pourquoi ne pas signer pour les deux ?! MCE vous donne tous ses tuyaux sur le Permis Vacances-Travail

Le Programme Vacances-Travail – souvent appelé « Working Holiday Visas » voire Visa Vacances-Travail – se présente comme un visa vous permettant de séjourner jusqu’à 1 an dans un pays étranger et d’y exercer au moins une activité d’une durée de 3 mois. A la fois visa de tourisme et mini-permis de travail, il se destine aux jeunes français âgés entre 18 et 31 ans et séduit chaque année pas moins de 30 000 candidats.

Plein de destinations facilement accessibles

De nombreux pays partenaires de la France dans ce dispositif sont disponibles: il s’agit du Canada, de Hong-Kong, du Japon, de la Nouvelle-Zélande, de l’Argentine, de l’Australie, de la Corée du Sud et même de la Russie, selon les modalités. D’autres nations devraient venir compléter la liste et font l’objet de travaux actuels.

Méfiez-vous car en fonction des pays que vous choisirez, la demande et donc la disponibilité des places ne sera pas la même. A titre d’exemples, choisissez l’Australie et vous devrez braver une file d’attente longue comme le bras ; en revanche si vous optez pour la Corée du Sud, le quota vous laissera de la place.

Une particularité de l’Australie par rapport aux autres pays est de proposer de reconduire votre permis sur un an max, à la condition de se voir proposer une mission de job d’une durée de 3 mois minimum.

Ce Permis est à retirer à l’ambassade du pays convoité

Pour obtenir votre PVT, téléchargez les formulaires de demande sur les sites des ambassades des pays signataires puis retournez-le à l’ambassade en France. Comptez généralement une centaine d’euros de frais de dossier.

Une fausse idée sur le PVT consiste à penser que son attribution rime automatiquement avec embauche dans une société du pays où l’on arrive. Rien n’est moins vrai: vous avez seulement la possibilité de bosser, à vous de vous dégoter par la suite un petit boulot sur place.

Attention: les pays d’accueil vous demanderont d’avoir vos comptes courants dans le vert, et même avec des provisions minimales de 2 000€ à 4 000€, selon les destinations choisies. Pour en apporter la preuve, vous devrez fournir une attestation de fonds qui est la plupart du temps un simple relevé de compte visé par votre banquier.

T. C.

Sources : cursusmundus , onisep , working-holiday-visas.com

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