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Top Chef 2017: Jean-François Bury dévoile l’épreuve qui « a été la plus compliquée à gérer » !

Top Chef 2017: Jean-François Bury dévoile l’épreuve qui « a été le plus compliquée à gérer » !

Dans une interview pour Melty, Jean-François Bury de Top Chef 2017 a indiqué quelle épreuve a été le plus compliquée à gérer dans la compétition

Champion du Monde des traiteurs en 2015, Jean-François Bury a voulu tenter sa chance dans Top Chef 2017. Pour se tester, mais aussi pour faire mieux connaître le métier de traiteur. Toujours en course dans la compétition, le candidat s’est confié à Melty et a dévoilé quelle épreuve avait la plus difficile à gérer sur le tournage.

Top Chef 2017 : le poulet, une hantise ?

L’épreuve qu’il a eu le plus de mal à gérer ? Le poulet sur des plaques à inductions. En effet, Jean-François Bury reconnaît que cette épreuve a été celle qui a joué sur ses nerfs dans Top Chef 2017. Il a expliqué pourquoi : « Le poulet encore une fois ! Je suis fier de cette épreuve, mais c’était compliqué, parce qu’on n’était pas dans notre cuisine, on devait travailler sur des plaques à inductions qui étaient vraiment très petites. Dans ces cas-là, tu redécouvres une nouvelle technique de cuisson. »

Avant d’indiquer que lorsqu’ils cuisinent en extérieur, toute la cuisine est déplacée, y compris les frigos : « Sur le plateau, on est sur du gaz, et là, on arrive, c’est de l’induction, c’est pas évident. Par contre, quand on ne cuisinait pas sur le plateau, c’est fou, parce qu’ils déplacent toute la cuisine. Tout ce qu’on a sur le plateau, on l’avait aussi à l’extérieur. C’est un gros bordel quand Top Chef arrive quelque part, ils déplacent même les frigos. »

Top Chef 2017 : pourquoi un surplus de nourriture ?

Melty s’est ensuite questionné sur le fait que les candidats de Top Chef 2017 cuisinent en grande quantité, pour au final sortir une toute petite assiette. Jean-François Bury a expliqué pourquoi et a confié que le surplus était donné à des associations caritatives :

« En fait, ce qui est assez compliqué, c’est qu’on doit toujours faire trop. On a du matériel assez gros, donc si tu veux que ça mixe correctement par exemple, il va falloir mettre une certaine quantité, sinon ça ne fonctionnera pas. Évidemment, il y a toujours un peu de perte, mais la majorité des produits est ensuite donnée à des associations caritatives qui viennent tout récupérer après les épreuves. Ça c’est cool, c’est quelque chose que la production devrait plus mettre en avant. »

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