Dans les colonnes de Paris Match, Mika s’est confié sur son avenir dans The Voice. L’artiste semble en plein doute pour la suite
C’est en 2014 que Mika s’est installé sur son fauteuil rouge de The Voice pour ne jamais vraiment le quitter. En effet, le chanteur de 35 ans a pris la place de Louis Bertignac à l’occasion de la troisième saison du télé-crochet de TF1. Depuis, l’interprète de Relax a remporté plusieurs victoires avec ses talents, et notamment celle de la dernière saison avec Whitney. Mais souhaite-t-il poursuivre l’aventure encore une année de plus? C’est justement la question que s’est posée Paris-Match. Le coach a indiqué si oui, ou non, il souhaitait arrêter sa collaboration avec le programme:
« Personnellement, non. Je m’y sens bien, c’est une très bonne émission. Mais après, je ne sais pas ce que la production décidera, les audiences sont un peu compliquées en ce moment. Ma tournée démarre dès septembre aux Etats-Unis, je serai en Europe à partir de novembre. Ce n’est pas une décision qui me revient. »
The Voice: Mika privilégie la musique
Vous l’aurez compris. Mika aimerait continuer à être coach dans The Voice. Mais ce n’est pas lui qui va décider de son avenir. Le choix revient à la production. Toutefois, celui qui vient de remporter cette saison avec Whitney, laisse penser qu’il préférerait s’écarter de son rôle de coach pour de nouveau se concentrer dans la musique.
D’autant plus que son album va sortir dans plusieurs mois. A ce sujet, le coach de The Voice a indiqué pourquoi il s’était absenté aussi longtemps de ce milieu: « J’avais besoin de ce temps-là, tout simplement parce que j’en avais marre de l’industrie du disque. C’est une chose magique qui permet de faire un métier privilégié, que j’aime, mais sa réalité est tellement brutale. On y côtoie les meilleurs gens du monde comme les pires. Je n’ai rien écrit pendant deux ans, je sortais de douze années où j’avais fait plein de trucs, je n’avais jamais fait de pause… Je suis aussi passé par une phase où je me disais que ce que je faisais n’était plus essentiel ».