Dans une interview pour TV Mag, Jean-Marc, candidat de The Bachelor Vietnam, a indiqué comment il avait vécu le tournage
Pour la première fois dans l’histoire du Bachelor Vietnam, un candidat Français participe à l’émission. Toutefois, si Jean-Marc a participé à l’émission dans ce pays, c’est parce qu’il en est originaire. Qu’est-ce qui a motivé le jeune homme à aller si loin pour faire une téléréalité ? Comment a-t-il le vécu le tournage pour son premier programme ? Il a donné toutes les réponses au micro de TV Mag.
The Bachelor Vietnam : comment Jean-Marc a-t-il vécu le tournage ?
Participer à sa première téléréalité, qui plus est dans un pays étranger, n’est pas chose aisée. C’est pourquoi, TV Mag a cherché à savoir comment Jean-Marc, candidat de The Bachelor Vietnam, avait vécu tout cela. Le jeune homme a indiqué :
« C’est une experience assez extraordinaire et vraiment inattendue. Je ne réalise toujours pas d’être le premier Bachelor du Vietnam. Dans le programme, c’est à l’homme de convaincre les femmes qu’il a choisi de rester plus longtemps dans l’émission. À chaque cérémonie de la rose, je me retrouve dans une situation où je suis en attente de leur decision d’accepter ou non la rose. C’est fort et cela rend le show encore plus proche de la réalité. Lors de la première cérémonie, trois des 24 candidates ont refusé ma rose car elles estimaient que je n’étais pas fait pour être avec elles. C’est très dur émotionnellement mais j’ai toujours respecté le choix de chaque candidate. J’ai également toujours essayé de reparler en privé et essayer de convaincre les candidates que j’estimais importantes à mes yeux de rester. »
The Bachelor Vietnam : les craintes de Jean-Marc
En revanche, même si l’aventure s’est bien passée pour Jean-Marc, ce dernier a avoué avoir eu quelques craintes. En effet, le candidat de The Bachelor Vietnam a confié :
« Trouver l’amour à la télévision, ce n’est vraiment pas commun. Mais en plus, je devais le faire dans une langue que je ne maîtrise pas très bien. Le Vietnamien est très complexe et mon accent marseillais n’aide pas à parler une langue aussi chantante! Saisir cette opportunité me permettait d’être dans une situation où les filles étaient au courant de mes intentions. Je pouvais m’ouvrir et partager mes ressentis sans crainte de les faire fuir. J’avais aussi le besoin de retrouver des sensations et des émotions que nous perdons dans notre quotidien car nous sommes trop occupés ou distraits par les smartphones où la connection entre les personnes se font souvent par «match» ou «friend request» ».