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Secret Story: la production souhaitait faire avorter une candidate devant les caméras, d’après Benjamin Castaldi

Secret Story: la production souhaitait faire avorter une candidate devant les caméras, d'après Benjamin Castaldi

Après avoir présenté « Secret Story » pendant huit ans, Benjamin Castaldi a confié que la production souhaitait faire avorter une candidate enceinte devant les caméras

Le programme phare de TF1, Secret Story a marqué son grand retour il y a près de neuf semaines. 16 candidats ont alors intégré la Maison des secrets avec un nouveau décor, et encadré par un nouveau présentateur, Christophe Beaugrand. C’est effectivement après huit ans de présentation que Benjamin Castaldi a quitté son navire, laissant son acolyte Adrien Lemaitre aux côtés de Julie Taton et Leila Ben Khalifa. Présentateur sur NRJ12 dans la nouvelle version de L’Académie des 9, Benjamin Castaldi a d’ailleurs édité son livre autobiographique intitulé Jusqu’ici tout va bien dans lequel il raconte son passé, sa vie intime et professionnelle. Le présentateur n’a d’ailleurs pas manqué de se confier sur la production de Secret Story et a fait des révélations des plus choquantes.

« Certains avaient imaginé de faire avaler une pilule abortive à une candidate enceinte »

C’est effectivement après huit ans de présentation chez TF1 que Benjamin Castaldi a décidé de quitter le navire Secret Story. Si son départ avait ému des milliers de téléspectateurs, il semblerait que le présentateur n’ait pas gardé de liens amicaux avec les membre de la production, bien au contraire. Dans son livre autobiographie, Jusqu’ici tout va bien, qui sortira le 4 novembre dans les librairies, Benjamin Castaldi a fait des révélations sur l’envers du décor de l’émission.

En plus de la triche, le présentateur a soulevé un souhait qu’Endemol voulait faire endurer à une candidate enceinte : celui de la faire avorter devant les caméras. En effet, il a alors avoué : « Secret Story regorge d’images embar­ras­santes, confi­nées dans des coffres sécu­ri­sés. Me croi­rez-vous si je vous dis que certains avaient imaginé de faire avaler une pilule abor­tive, la fameuse RU499, à une candi­date enceinte, d’ailleurs sélectionnée pour cette raison ? », avant d’ajouter : « Il a fallu expliquer à cette équipe pleine de ressources que la jeune femme risquait d’expul­ser son bébé sous la douche, devant les camé­ras. On marchait sur la tête ».

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