Dans une interview pour Télé-Loisirs, Bastien de Secret Story 10 a assuré qu’il assumait tous les messages de haine à son égard
Bastien est certainement l’un des candidats les plus détestés par le public de Secret Story 10. En effet, ses changements d’humeur et ses trahisons envers Julien n’ont pas joué en sa faveur. Et au fil des semaines, sa côté de popularité n’a fait que descendre. Mais le boyfriend de Mélanie est « intouchable ». Il a assuré qu’il assumait tous les messages de haine à son égard.
Secret Story 10 : Bastien assume les critiques
Bastien assume, et comprend, les messages de haine à son égard. Etrange de comprendre que la majorité des personnes ne l’apprécie pas. Mais c’est pourtant ce qu’il a indiqué dans une interview pour Télé-Loisirs. L’ancien candidat de Secret Story 10 a assuré :
« Le compagnon de Mélanie dit « assumer » tous les messages de haine à son égard sur les réseaux sociaux. Mieux, il dit même les « comprendre ». « C’est pour ça que je suis là et que j’essaie de m’expliquer, nous a-t-il assuré en interview. Le vrai Bastien c’est celui qui est entré dans l’aventure, le jeune homme frais et avec une bonne énergie. Celui qui avait envie de jouer et s’amuser. »
Secret Story 10 : Bastien a pris l’aventure avec plus de recul que les autres
Bastien a une explication au fait de ne pas prendre mal les critiques à son égard. Le candidat de Secret Story 10 a expliqué qu’il avait pris cette aventure avec plus de recul que les autres : « J’ai vu cette expérience vu avec plus de distance que d’autres. » Une lucidité qui lui aurait donc joué des tours. Bastien reconnait que l’enfermement lui a également « énormément apporté » : « C’est un jeu dans lequel j’ai pris beaucoup de plaisir, dans lequel j’ai eu des expériences difficiles. Mais j’ai découvert mes faiblesses. J’en ressors grandi ».
Avant de conclure : « Je sais que je passe pour une joueur sans foi ni loi. Oui, je suis un joueur et oui je vois ça comme un jeu avec plus de recul que les autres habitants. Je n’ai pas envie de pleurer quand quelqu’un part, comme je n’ai pas envie de pleurer quand je perds mon hôtel à Rue de la paix au Monopoly. »