Depuis quelques jours, Régis (Koh-Lanta 2020) se fait harceler par les internautes sur les réseaux sociaux. Il décide de porter plainte !
Alors que les internautes le prennent pour cible d’attaques sur les réseaux sociaux, Régis (Koh-Lanta 2020) saisit la justice pour harcèlement. MCE vous donne plus de détails.
Il y en a marre ! Sur les réseaux sociaux, les internautes ne font preuve d’aucune pitié. Ainsi, certains d’entre eux se déchainent et prennent à parti une personne.
En effet, Koh-Lanta n’a autant agité la Toile. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cette saison 2020 atteint des sommets en termes de menaces de mort sur Internet.
Ce n’est pas Ahmad qui peut prétendre le contraire ! Lui aussi en a pris pour son grade sur les réseaux sociaux. Et pas des moindres !
« C’était un déferlement, c’est tombé dans les insultes, dans la haine, dans le boycott des entreprises, dans les menaces de mort, et ça c’était un petit peu compliqué », explique-t-il.
Cette fois-ci, ces derniers s’en prennent à Régis, un candidat de Koh-Lanta 2020. Eh oui, cette saison n’en finit plus de faire parler d’elle !
Bien moins patient que son camarade d’aventure, Régis ne veut pas rester les bras coincés. Alors, celui-ci décide de saisir la justice pour harcèlement !
Régis dénonce la violence
Eh oui, il est dans le viseur des haters ! Les internautes détestent ce candidat et comptent bien le lui faire savoir. Mais certains vont beaucoup trop loin.
« Regis, élu la plus grosse sal*** de l’histoire de Koh-Lanta », « Koh-Lanta, j’ai le démon. Regis sale fourbe », ou encore « Il est élu plus gros traître de l’histoire de koh-lanta« .
Mais pour Régis, c’en est trop. Alors agacé de se faire autant insulter, celui-ci n’en peut plus. Pour lui, il n’y a qu’une seule solution : porter plainte.
Ainsi, Régis se confie à nos confrères de Télé Loisirs. D’après lui, les commentaires sont d’une « violence inouïe ». D’ailleurs, celui-ci reçoit aussi des messages en privé !
« Je reçois des menaces incitant à égorger et violer mes enfants, des appels à passage à tabac de mon fils de 12 ans en précisant le lieu de son collège, je ne l’accepterai jamais », affirme ce dernier.