Pascal de Sutter, psychologue de Mariés au premier regard, a indiqué en quoi consistaient les tests passés par les candidats du programme
Pour que deux candidats de Mariés au premier regard soient compatibles à 80%, 70%, ou encore 95%, il y a énormément de travail derrière. En effet, ne croyez pas qu’en montrant simplement quelques photos à un futur candidat, la production va parvenir à lui trouver une femme lui convenant à 90%. Pour cela, toutes les personnes participantes à l’émission doivent passer une série de tests. Tests qui ont été détaillés par Pascal de Sutter, psychologue du programme.
Mariés au premier regard: des tests à gogo
Comme nous vous l’indiquions, les futurs candidats de Mariés au premier regard doivent passer une multitude de tests avant de pouvoir espérer trouver leur moitié. Eh quand on parle de tests, on ne parle pas seulement de quelques photos montrées ou des questions basiques posées. Non, tout ce système est bien plus poussé que cela:
« Il y a des tests de personnalité. (…) Il y a également le test par rapport aux odeurs. Les gens vont respirer un habit. (…) Si vous avez quelqu’un dont l’odeur corporelle naturelle vous déplaît profondément, ça va être compliqué de former un couple avec cette personne-là. On évalue aussi les idéaux de vie. C’est important parce que si on a des valeurs très différentes, (…) ça va être compliqué de vivre ensemble. On évalue toute une série de facteurs. C’est long, ça prend plusieurs jours aux participants de remplir
tous ces questionnaires ».
Mariés au premier regard: le milieu socio-culturel est très important
Autre révélation qu’a faite Pascal de Sutter au sujet des tests de Mariés au premier regard: le milieu socio-culturel. Ce dernier est analysé à la loupe par les membres de la production. La raison? Si ce dernier est trop différent entre futurs mariés, cela peut très souvent emmener à un divorce:
« le milieu socio-culturel est important. Les gens y attachent beaucoup d’importance et on doit tenir compte de ça. (…) On s’est rendu compte que les échecs des autres saisons étaient liés au fait qu’il y avait une trop grande disparité dans l’éducation. Le mode de vie ou le milieu qu’ils fréquentaient. »
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