Melty a cherché à savoir si Karine Le Marchand intervenait dans L’amour est dans le pré, si un agriculteur allait « droit dans le mur »
Les agriculteurs de L’amour est dans le pré n’ont aucune expérience de la téléréalité. Alors Karine Le Marchand intervient-elle lorsque ces derniers vont « droit dans le mur » ? L’animatrice a donné la réponse au cours d’un entretien accordé à Melty.
L’amour est dans le pré : Karine Le Marchand n’intervient pas
Eh bien non, Karine Le Marchand laisse faire les choses. L’animatrice de L’amour est dans le pré a indiqué que, justement, si elle intervenait, le programme deviendrait de la téléréalité :
« Non, parce que ce serait de la télé-réalité… Moi je ne suis pas avec eux à la ferme, mais souvent, ils demandent conseil à l’équipe. On vit avec eux, parfois il est arrivé qu’un des ingé-son repère un truc, genre une nana qui est au téléphone et qui a oublié qu’elle a son micro… C’est un cas de conscience quand on se rend compte que les prétendantes ne sont pas sincères. Généralement, on lui dit oui, on lui fait comprendre. Après, à l’inverse, il faut laisser le droit à la prétendante d’être déçue, et de se rendre compte que l’agriculteur n’est pas prêt à accepter quelqu’un dans sa vie. »
L’amour est dans le pré : pas un programme de téléréalité
Karine Le Marchand insiste, L’amour est dans le pré n’est pas un programme de téléréalité contrairement à ce que certains puissent penser. L’animatrice a relaté les différences entre l’émission et un programme de téléréalité :
« Dans la télé-réalité tout est écrit. Ils ont une bimbo, un beau brun musclé, un débile de service… Tout est scripté pour que ça rentre dans les cases. Et ensuite la production leur dit : “bon les filles, vous allez avoir une heure pour faire du carwash, et on filme”. Tout est écrit, on met des gens qui sont castés pour ne pas être naturels, dans des situations qui ne sont pas naturelles. Et forcément, en obligeant la bimbo et le mec coincé à dormir ensemble, on sait que ça va déraper. Nous, on fait du docu-réalité. Les agriculteurs viennent pour qu’on les mette tels qu’ils sont dans le programme. S’ils décident de ne pas accorder de temps aux prétendantes pendant cinq jours, ce sont eux qui choisissent. De notre côté, on essaie de se renouveler, mais on choisit avant tout une personnalité qui nous parle. »