Deuxième de l'émission de TF1 "Koh-Lanta : Les Armes Secrètes", la candidate Lucie revient pour MCE TV sur son incroyable aventure.
Deuxième de « Koh-Lanta : Les Armes Secrètes », la combattante de MMA Lucie revient pour MCE TV sur son incroyable aventure ! Elle nous raconte sa réaction quand elle a appris qu’elle participait au programme de TF1 !
Quelle a été ta réaction quand tu as appris que tu allais faire cette aventure ?
Lucie (Koh-Lanta) : J’ai ressenti une immense fierté parce que le processus de casting a été très long. Ça a été une aventure avant l’aventure. Et comme c’était le rêve de plusieurs années, j’avais la satisfaction de me dire qu’un objectif allait s’accomplir. Donc le premier objectif, c’est de pouvoir mettre les pieds sur une île de Koh-Lanta dans cette émission et avoir la capacité de me challenger. Hors de ma zone de confort.
Comment t’es-tu préparée avant ton aventure ?
Lucie (Koh-Lanta) : Oui et non ! À vrai dire, ça a été très rudimentaire. Comme j’avais un combat une semaine avant le départ, j’étais très focus sur mon combat. A ce moment-là, c’était ma priorité, il y avait beaucoup d’enjeux. En revanche, durant cette préparation, j’ai réussi quand même à caser un petit stage d’initiation à la survie. Je ne voulais pas ressentir un choc trop important en arrivant sur place. Donc voilà, je me suis préparée psychologiquement à survivre. Je sais construire une cabane, je sais à peu près m’orienter. Je sais faire des choses en survie dans un cadre occidental, européen, avec la faune et la flore locale. J’étais un peu prête physiquement parce que j’avais eu ma préparation de combat. Bref, non, je ne me suis pas préparée plus que ça pour l’aventure.
Denis Brogniart est-il aussi sympathique et charismatique qu’il en a l’air ?
Lucie (Koh-Lanta) : Denis, il est impressionnant, il est ultra professionnel, il maîtrise son sujet, c’est rodé. Il est dans son rôle de présentateur, d’arbitre. Et puis, on apprend à le connaître au fur à mesure de Koh-Lanta. C’est vrai qu’il a beaucoup de charisme et une sorte d’autorité naturelle.
Avais-tu des liens sur l’île avec les cameramen ?
Lucie (Koh-Lanta) : Les équipes de production, donc les cameramen, en l’occurrence oui, on discute avec eux, mais dans le cadre d’interviews. On a des rapports avec eux qui sont très pro, en fait. C’est simple, c’est un peu comme notre journal de bord, on leur dit ce qu’il se passe dans nos vies, on donne des explications à ce qui arrive, mais on n’a pas de rapports proches avec eux. Il n’y a pas d’affinités qui se créent. Puis, je crois pas que ce n’est pas autorisé en plus.
Selon toi, quelles sont les 3 qualités nécessaires pour être un bon aventurier ?
Lucie (Koh-Lanta) : Pour être le meilleur aventurier, je dirais qu’il faut avoir une capacité d’adaptation très importante à tout point de vue, que ce soit au niveau physique, mental, social, politique. Il faut avoir une vision à 360. Je crois que ce n’est pas mal de savoir être discret dans un premier temps. Pour ne pas être une tête à abattre ! Je pense donc qu’il faut vraiment se placer en observateur au départ. En tout cas, c’est le plan que j’avais en tête en arrivant. Je me suis dit : « Reste Beta, ne te positionne pas en Alpha, ce n’est pas le moment. Tu dois d’abord t’intégrer. » Et puis, c’est ce que je suis aussi. Je suis une fille très sympa donc on ne m’embête pas moi, il n’y a pas de problèmes.
Comment est la vie sur l’île en dehors des épreuves ?
Lucie (Koh-Lanta) : En dehors des épreuves, on s’occupe, on a tous une mission. Par exemple, avec les jaunes, il y avait des filles qui s’occupaient de la cuisine : Shanice et Myriam. Les garçons, eux, s’occupaient d’aller pêcher. Laetitia et moi, on s’occupait d’aller chercher le bois, alimenter le feu, écailler les poissons, ouvrir des cocos, etc. On avait tous une petite mission et ça fonctionnait plutôt bien. Chacun a trouvé sa place assez naturellement. Et puis sinon, on avait des feux de camp le soir, on s’amusait, on faisait des jeux, genre jouer aux « Loups Garous », qui est un jeu de stratégie. Ça matchait bien, ça collait bien avec le jeu Koh-Lanta.
C’est quoi le plus dur sur l’île ?
Lucie (Koh-Lanta) : Je dirais 2 choses. Tout d’abord, le fait d’être dans l’inconnu tout le temps, de ne jamais savoir ce qu’il va nous arriver, de devoir s’adapter très vite. C’est un exercice que j’aime beaucoup, mais c’est très inconfortable aussi. Ça génère un peu de stress chez moi. Et puis la deuxième chose, c’est l’aspect survie sociale, ça a été le plus dur. L’intégration dans le groupe, etc. Les alliances, la stratégie, tout cet aspect social et politique pour moi, c’était très difficile.
Quel a été le moment le plus drôle de ton aventure ?
Lucie (Koh-Lanta) : Il n’y en a pas eu un, il y a eu plusieurs moments drôles ! C’est vrai qu’avec les jaunes, on avait de gros blagueurs, tout le monde se chambrait, c’était très bon enfant. On a beaucoup rigolé sur le camp des jaunes. Des grands moments, on en a eu plein. Il n’y en a pas eu un qui s’est détaché du lot.
Qui aurais-tu aimé affronter dans l’aventure, toutes saisons confondues ?
Lucie (Koh-Lanta) : Il n’y a pas vraiment d’aventuriers de Koh-Lanta que j’aurais aimé affronter en particulier. En effet, j’estime que ma plus grande adversaire, c’est moi-même. En revanche, il y a des gens avec qui j’aurais aimé partager l’aventure. Moundir par exemple, il m’éclate, j’adore sa personnalité. Naoil aussi, je la trouvais très humaine. Ou encore Inès, c’était une gentille fille au fond, elle était cool quand même. Il y a plein d’aventuriers qui sont hyper sympathiques !